Analyseret comprendre des documents en histoire Document 1 Affiche de recrutement pour la Waffen SS (1943) La Waffen SS est la branche militaire de la SS. ComposĂ©e de soldats fanatiques, elle combat sur le front de l’Est Ă  partir de 1943. Document 2 La guerre contre les partisans (BiĂ©lorussie, 1943) « La guerre contre les partisans1fut atroce.

Les SS français auraient Ă©tĂ© les derniers dĂ©fenseurs » du bunker, le Bataillon Charlemagne ayant Ă©tĂ© la seule unitĂ© encore prĂ©sente jusqu'au 2 mai, afin d'empĂȘcher les SoviĂ©tiques de le prendre pour la fĂȘte du 1er mai Jusque dans les annĂ©es 1990, les pensions Ă©taient versĂ©es par le gouvernement allemand aux anciens combattants français de la division SS Charlemagne. L'un des derniers combattants français INTRODUCTION "Ne soyez pas effrayĂ©s si nous sommes si peu nombreux. A travers l'histoire, depuis des temps immĂ©moriaux, c'est toujours une poignĂ©e d'hommes qui a forcĂ© le destin" Joseph Darnand. Jean Marie Balestre Avec la guerre, commence la pĂ©riode la plus trouble et contradictoire de la biographie de Jean-Marie Balestre. En 1939 et 1940, il Ă©crit rĂ©guliĂšrement comme journaliste militant dans Le Droit de vivre, journal de la Ligue Internationale contre l’AntisĂ©mitisme que dirige Bernard Lecache2 et dont il est membre du service d'ordre avant la guerre. Dans un de ses articles intitulĂ© Il n'y a plus de mĂ©tĂšques, en dĂ©cembre 1939, il Ă©crit cette barbarie qu'est le racisme ». Il devient marĂ©chaliste et, en 1940, rĂ©fugiĂ© Ă  Toulouse, adhĂšre aux organisations d'extrĂȘme droite Jeunes du MarĂ©chal » puis Jeune Front », oĂč il fait la rencontre deRobert Hersant qui en est l'un des dirigeants. Il est Ă©galement proche de Pierre ClĂ©menti. DĂšs l'Ă©tĂ© 1940, on le trouve impliquĂ© dans des violences antisĂ©mites en compagnie de Robert Hersant. En 1941 et 42, il codirige avec ce dernier le Centre de jeunesse marĂ©chal PĂ©tain de BrĂ©vannes, un camp d'embrigadement aux principes vichystes En mars 1944, dans le Journal de la communautĂ© europĂ©enne, Devenir, il Ă©crit un article intitulĂ© Les soldats du FĂŒhrer » dans lequel il Ă©nonce Les jeunes Français ont endossĂ© leur uniforme de la Waffen SS, ils dĂ©fendent son drapeau et son prestige ; ils ont embrassĂ© un idĂ©al intransigeant et appartiennent maintenant Ă  un Ordre que l'on ne quitte que par la mort... Ils sont les soldats du FĂŒhrer, ils sont les soldats fanatiques et fidĂšles d'Adolf Hitler qui leur a accordĂ© par deux fois le plus grand des honneurs. » Ces faits rĂ©vĂ©lĂ©s par le journaliste Pierre Dubreuil dans son ouvrage Des bolides en or paru en 1984 ne seront pas dĂ©mentis par le principal intĂ©ressĂ© qui explique toutefois avoir agi en tant qu'agent infiltre pour les faux rĂ©seaux de rĂ©sistance En mai 1944, il est arrĂȘtĂ© par la Gestapo parce que, d'aprĂšs ses dires, il prĂ©parait un attentat. Des rĂ©sistants affirment qu'il a Ă©tĂ© pris la main dans le sac Ă  truquer des factures d'imprimerie, Ă  revendre du papier journal contingentĂ© et que, d'autre part, il s'Ă©tait livrĂ© au marchĂ© noir. Il est mis au secret Ă  Fresnes puis, le 17 aoĂ»t 1944, au moment de la dĂ©bĂącle allemande, est transfĂ©rĂ© dans le dernier convoi en partance pour l'Allemagne, comme droit commun et non comme prisonnier politique, puis internĂ© dans le camp Dantzig, Oranienburg, Dachau et Hersbruck. Il est dĂ©livrĂ© par les AmĂ©ricains en avril 1945, et dĂšs son retour en France, rejoint les rangs de la rĂ©sistance française, mais est dĂ©noncĂ© comme ancien SS par les membres de la communautĂ© juive. AprĂšs son incarcĂ©ration Ă  la prison de Fresnes, le 16 juin 1945 pour atteinte Ă  la sĂ»retĂ© de l'État, un non-lieu est rendu le 16 mai 1947. Par dĂ©cision ministĂ©rielle du 7 avril 1954, le soldat Jean-Marie Balestre se voit dĂ©cerner le certificat et la mĂ©daille d'appartenance Ă  la RĂ©sistance intĂ©rieure française pour service accomplis dans la RĂ©sistance du 1er avril 1942 au 4 mai 1945. En juin 1957, le ministre des Anciens Combattants et Victimes de guerre lui attribue le titre, la carte et la mĂ©daille de dĂ©portĂ© rĂ©sistant Il est fait chevalier de la LĂ©gion d’honneur en dĂ©montre l'existence et les faux rĂ©seaux de maquis montes par le rĂ©gime de Vichy Le noyau de la DCER implique dans un vaste scandale de faux papiers de la rĂ©sistance et dĂ©portation Paris le 22 Mars 1958 Le CSM Comite Secret Militaire qui fut Ă  l'origine le BCRA Bureau central de Renseignement et d'Action ancĂȘtre de la trop fumeuse DGRE de l'homme de confiance du GĂ©nĂ©ral de Gaule l'Ex colonel Passy a donne lieu Ă  un retentissant scandale Le CSM dĂ©livrait de faux papiers de rĂ©sistance dont certains furent homologuĂ©s par des services officiels comme pour Monsieur Balestre Par la loi du 22 juillet 1943, le PrĂ©sident Laval, avec l'assentiment du Chef de l'Etat, Monsieur le MarĂ©chal PĂ©tain, a reconnu Ă  tous les français le droit de s'engager dans les formations de laWaffen SS Ă  l'Est, afin d'y prendre part aux combats pour l'existence et l'avenir de l'Europe. En vertu de cette loi, les volontaires pour la Waffen-SS jouissent du mĂȘme statut lĂ©gal que les membres de la le gouvernement français a ainsi montrĂ© qu'il apprĂ©ciait l'offre faite par le FĂŒhrer et qu'il est prĂȘt Ă  prendre sa part des devoirs que commandent des heures dĂ©cisives pour le sort de l'Europe. Il est Ă©vident que la constitution d'une unitĂ© de volontaires français au sein de la Waffen-SS reprĂ©sente un nouveau pas trĂšs important, dans l'union de la Jeunesse europĂ©enne contre le nihilisme bolcheviste. Le fait est que l'afflux des volontaires de presque tous les pays de l'Europe qui, cĂŽte Ă  cĂŽte avec leurs camarades allemands, se sont distinguĂ©s par leurs vaillance au front de l'Est, la SS, fondement essentiel du Parti National-Socialiste, qui n'avait, Ă  l'origine, qu'une valeur politique interne allemande, s'est transformĂ©e aujourd'hui en une communautĂ© indissoluble de la Jeunesse europĂ©enne luttant pour le maintien de ses valeurs culturelles et de sa civilisation. Que la Jeunesse française ait d'instinct compris la portĂ©e de ce nouveau pas, est dĂ©montrĂ© par le fait qu'en quelques jours et sans la moindre propagande, plus de volontaires se sont prĂ©sentĂ©s. Le premier bataillon existe et bientĂŽt le premier RĂ©giment SS français sera en mesure de faire la preuve de la permanence des hautes traditions militaires françaises et de l'esprit combatif de sa Jeunesse. La SS se fera un point d'honneur et considĂ©rera comme une tĂąche essentielle d'employer les qualitĂ©s militaires et la volontĂ© de combat de chaque Français disposĂ© Ă  engager sa vie dans la lutte pour l'existence et l'avenir de l'Europe, contre le bolchevisme pour la justice sociale, pour la victoire ! Photo prise Ă  l'Ersatzkommando Frankreich der Waffen-SS Ă  Paris. Plusieurs vĂ©tĂ©rans y travaillent comme Jean Balestre qui aurait fourni Ă  la rĂ©sistance, selon la rumeur, une longue liste comportant le nom et l'adresse des volontaires français. Curieusement il ne sera jamais inquiĂ©tĂ© Ă  la libĂ©ration malgrĂ© ses articles Ă©logieux au national-socialisme dans le journal "Devenir". Alphonse Godin est un ancien sous-officier de carriĂšre de l'armĂ©e française. Il combat en Pologne en 1920 dans les rangs de l'armĂ©e Weygand. Il obtient la barrette du ruban de l'ordre de la Pologne restaurĂ©e mais aussi le ruban de la mĂ©daille militaire. Ensuite il se tourne vers la Cagoule d'EugĂšne Deloncle et milite au MSR. Il s'engage dans la LVF puis devient recruteur Ă  la Waffen SS. Lui aussi travaille Ă  l'ErsatzkommandoFrankreich der Waffen-SS Conditions d'engagement A l'exception de juifs et de ceux qui ont encouru une condamnation infamante, tous les français, cĂ©libataires ou mariĂ©s, normalement dĂ©veloppĂ©s, aptes aux exigences d'une instruction militaire, peuvent s'engager Ă  la Waffen-SS - Age de 17 Ă  40 ans. Taille minima m Conditions d'avancement dans la Waffen-SS. Les volontaires simples soldats lors de leur engagement, qui prĂ©senteront les aptitudes requises, pourront ĂȘtre admis dans les Ă©coles de sous-officiers ou d'officiers de la Waffen SS. L'admission dans ces Ă©coles ne sera pas dĂ©terminĂ©es par les diplĂŽmes ou les titres universitaires des candidats mais seulement par les qualitĂ©s personnelles dont ils auront fait preuve et par leur aptitude au commandement sous l'uniforme allemand, Henri Fenet, un chef de bataillon, est mort en septembre 2002. Il avait reçu la croix de chevalier de la Croix de fer, dĂ©coration allemande portant la croix gammĂ©e, en avril 1945 sous l'heure d' division sera la derniĂšre a dĂ©fendre Hitler a Berlin Par la loi du 22 juillet 1943, le PrĂ©sident Laval avec l’assentiment du Chef de l’Etat, Monsieur le MarĂ©chal PĂ©tain, a reconnu Ă  tous les Français le droit de s’engager dans les formations de la Waffen-SS Ă  l’Est, afin d’y prendre part aux combats pour l’existence et l’avenir de l’Europe. En vertu de cette loi, les volontaires pour la Waffen-SS jouissent du mĂȘme statut lĂ©gal que les membres de la L. V. F. Le Gouvernement français a ainsi montrĂ© qu’il apprĂ©ciait l’offre faite par le FĂŒhrer et qu’il est prĂȘt Ă  prendre sa part des devoirs que commandent des heures dĂ©cisives pour le sort de l’Europe. Il est Ă©vident que la constitution d’une unitĂ© de volontaires français au sein de la Waffen-SS reprĂ©sente un nouveau pas trĂšs important dans l’union de la jeunesse europĂ©enne contre le nihilisme bolcheviste. Le fait est que par l’afflux des volontaires de presque tous les pays de l’Europe qui, cĂŽte Ă  cĂŽte avec leurs camarades allemands, se sont distinguĂ©s par leur vaillance au front de l’Est, la SS, fondement essentiel du Parti national-socialiste, qui n’avait, Ă  l’origine, qu’une valeur politique interne allemande, s’est transformĂ©e aujourd’hui en une communautĂ© indissoluble de la jeunesse europĂ©enne luttant pour le maintien de ses valeurs culturelles et de sa civilisation. Que la jeunesse française ait d’instinct compris la portĂ©e de ce nouveau pas est dĂ©montrĂ© par le fait que, en quelques jours et sans la moindre propagande, plus de quinze cents volontaires se sont prĂ©sentĂ©s. Les deux premiers bataillons existent, et bientĂŽt le premier rĂ©giment SS français sera en mesure de faire la preuve de la permanence des hautes traditions militaires françaises et de l’esprit combatif de sa jeunesse. La SS se fera un point d’honneur et considĂ©rera comme une tĂąche essentielle d’employer les qualitĂ©s militaires et la volontĂ© de combat de chaque Français disposĂ© Ă  engager sa vie dans la lutte pour l’existence et l’avenir de l’Europe, contre le bolchevisme, pour la justice sociale, pour la victoire Les Grandes Enigmes de l’Occupation ‟Les Waffen-SS français” Ed. de CrĂ©millĂ©, 1970. Par Jean MABIRE L'acte de naissance officiel d'une unitĂ© française de la Waffen-SS 1 date du 22 juillet 1943. Pierre LAVAL, chef du gouvernement, la mĂšche en bataille, l'Ă©ternel mĂ©got collĂ© sous la moustache, signa lui-mĂȘme cette loi, aprĂšs avoir entendu, pour la forme, le conseil de cabinet. Trois articles, d'une sĂ©cheresse tout administrative ARTICLE PREMIER. - Les Français peuvent contracter un engagement volontaire pour combattre le bolchevisme hors du territoire dans les formations constituĂ©es par le gouvernement allemand Waffen-SS, pour y ĂȘtre groupĂ©s dans une unitĂ© française. ARTICLE II. - Ceux qui, appartenant Ă  cette unitĂ©, combattront effectivement hors du territoire bĂ©nĂ©ficieront des avantages prĂ©vus par les lois et rĂšglements relatifs Ă  la LĂ©gion des volontaires français2 contre le bolchevisme. ARTICLE III. - Le prĂ©sent dĂ©cret sera publiĂ© au Journal officiel et exĂ©cutĂ© comme loi de l'Etat. Quelques jours plus tard, c'est Ă  Paris, et non plus Ă  Vichy, que fut tirĂ©e, au cours d'une confĂ©rence de presse, la morale » de cette dĂ©cision Le gouvernement français a ainsi montrĂ© qu'il apprĂ©ciait l'offre faite par le FĂŒhrer et qu'il est prĂȘt Ă  prendre sa part des devoirs que commandent des heures dĂ©cisives pour le sort de l'Europe. » Ce n'Ă©tait certes pas de gaietĂ© de cƓur que les dirigeants officiels de l'Etat cautionnaient l'engagement de jeunes Français dans cette force de frappe militaire du mouvement national-socialiste la Waffen-SS. On ne peut s'empĂȘcher ici de penser Ă  un mot du poĂšte Jean COCTEAU Puisque ces Ă©vĂ©nements nous dĂ©passent, feignons d'en ĂȘtre les organisateurs... » PrĂšs de quarante mille Français volontaires dans les armĂ©es de Hitler En effet, depuis le dĂ©but de la guerre Ă  l'Est, d'assez nombreux jeunes Français s'Ă©taient engagĂ©s dans les armĂ©es du IIIe Reich. Le tempĂ©rament individualiste des Français et la minutie organisatrice des Allemands les avaient regroupĂ©s en unitĂ©s homogĂšnes ou, au contraire, dispersĂ©s dans de multiples formations. Trente ans plus tard, il est bien difficile de donner un chiffre d'ensemble, qui apparaĂźt de l'ordre de trente mille Ă  quarante mille hommes, pour les seules forces combattantes sur le front de la guerre rĂ©guliĂšre, hors du territoire français. Les premiers furent, dĂšs l'Ă©tĂ© 1941, ceux de la Wehrmacht, oĂč ils formaient le rĂ©giment 638, plus connu sous le nom de LVF, et qui vit passer plus de six mille hommes. Le gouvernement de Vichy tenta par la suite une opĂ©ration de rĂ©cupĂ©ration de cette unitĂ©, qui porta un temps le nom de LĂ©gion tricolore et dont certains cadres rejoignirent la Phalange africaine combattant, avec l’Afrika-Korps, sur le front de Tunisie. Des Français, parfois dĂ©serteurs de la LVF, s'engagĂšrent Ă  titre individuel dans diffĂ©rentes divisions de la Wehrmacht qui remontaient vers le front et acceptaient de les prendre en charge, souvent Ă  titre temporaire, notamment Ă  la Gross-Deutschland. On estime Ă  environ cinq mille le nombre des Français qui servirent dans les Schutz-Kommandos3 de l'Organisation Todt, oĂč ils encadraient des travailleurs recrutĂ©s bon grĂ© mal grĂ©, dans toute l'Europe, pour construire le Mur de l'Atlantique ». D'autres avaient prĂ©fĂ©rĂ©, dans cette mĂȘme Organisation Todt, la brigade Speer, qui avait des tĂąches plus militaires qu'architecturales. La Kriegsmarine tenta de deux mille Ă  trois mille Français. Ils subirent leur entraĂźnement militaire et leur endoctrinement politique... en Alsace, puis furent rĂ©partis par petits groupes, dĂ©passant rarement une demidouzaine de volontaires, Ă  bord de vedettes lance-torpilles, de dragueurs de mines et mĂȘme, pour quelques rares spĂ©cialistes, de sous-marins. Quant Ă  la Brandenburg, troupe opĂ©rationnelle des services secrets de l'Abwehr dont les tĂąches peuvent s'apparenter Ă  celles du bataillon de choc de l'armĂ©e française, elle passa de l'effectif d'un bataillon au dĂ©but de la guerre Ă  celui d'une division. On y trouvait de nombreux Ă©lĂ©ments Ă©trangers, dont, bien entendu des Français. Il y eut, au fur et Ă  mesure que de nouvelles unitĂ©s du IIIe Reich recrutaient des volontaires Ă©trangers, des Français partout conducteurs, tĂ©lĂ©phonistes, artilleurs de batteries cĂŽtiĂšres ou de batteries antiaĂ©riennes parmi ces derniers, on compta mĂȘme un certain nombre de jeunes filles françaises, puisque, Ă  la fin de la guerre, mĂȘme des femmes servirent dans la Flak4 pour essayer d'enrayer les raids, de plus en plus nombreux, contre les villes europĂ©ennes. On trouva des infirmiĂšres françaises dans les hĂŽpitaux militaires allemands et, au fin fond de l'Europe en guerre, on pouvait rencontrer quelques mariniers français qui avaient quittĂ© leurs pĂ©niches pour servir sur des remorqueurs armĂ©s, naviguant sur le Danube... Au mois de juillet 1942, un an aprĂšs la crĂ©ation de la LVF, un contingent d'environ deux mille Français s'engagea dans la Luftwaffe, oĂč ils furent regroupĂ©s au sein d'une formation de la NSKK5 . Certains d'entre eux devaient jouer un rĂŽle dĂ©terminant dans la crĂ©ation d'une unitĂ© française de la Waffen-SS. En effet, la NSKK constituait, comme la SS, une formation politique allemande devenue, avec la guerre, une unitĂ© militaire internationale. Créée en 1931 par Adolf HÜHNLEIN, cette troupe avait pour rĂŽle, dans les annĂ©es qui prĂ©cĂ©dĂšrent la prise du pouvoir par les nationaux-socialistes, de transporter les militants du parti et spĂ©cialement les hommes des sections d'assaut. A la fois train des Ă©quipages et unitĂ© de choc quand le besoin s'en faisait sentir, la NSKK Ă©tait, avec la SA6 et la SS, une des formations paramilitaires essentielles du mouvement nazi. La guerre devait faire de ces prĂ©toriens » des soldats. Mais ils restaient des soldats politiques, liĂ©s davantage au parti qu'Ă  l'armĂ©e. PlutĂŽt que de s'engager Ă  la LVF, qui vivait, sur le front de l'est, l'antagonisme de l'esprit cocardier français et du rigide militarisme prussien, de jeunes Français avaient prĂ©fĂ©rĂ© la NSKK, armĂ©e politique et unitĂ© internationale. Ils partirent Ă  l'entraĂźnement au camp de Schotten, prĂšs d'Anvers. Deux compagnies françaises furent engagĂ©es par la suite en Russie, trois en Italie et deux en Hongrie. Au mois de juillet 1943, une trentaine de volontaires, qui se trouvaient Ă  l'entraĂźnement, dĂ©sertĂšrent et vinrent se prĂ©senter au bureau de recrutement de la Waffen-SS d'Anvers, pour s'y faire engager. Depuis quelques mois, des Français avaient dĂ©jĂ  rĂ©ussi Ă  entrer dans la Waffen-SS, mais Ă  titre individuel. Il y en eut ainsi dans des formations purement allemandes comme le rĂ©giment Der FĂŒhrer ou la division Totenkopf. D'autres rejoignirent des unitĂ©s Ă  recrutement national, telle la brigade Wallonie. Par la suite, d'autres Français entrĂšrent dans le rĂ©giment Kurt EGGERS, unitĂ© des correspondants de guerre de la Waffen-SS. Un de ces journalistes sera tuĂ© sur le front de Normandie ; un autre recevra la croix de fer de premiĂšre classe, pour avoir pris spontanĂ©ment la tĂȘte d'une formation antichar et dĂ©truit plusieurs blindĂ©s soviĂ©tiques il effectuait un reportage dans le secteur de la Baltique quand survint une percĂ©e russe et il rĂ©agit en artilleur plus qu'en Ă©crivain... Origines de la Waffen-SS » Le dĂ©cret du 22 juillet 1943 ne faisait donc qu'officialiser un processus inĂ©vitable et tentait de regrouper les Français fascinĂ©s par le redoutable creuset que leur proposait la Waffen-SS. En cette annĂ©e 1943, la SS, Etat dans l'Etat, et dans une certaine mesure nation au-dessus des nations, incarnait le mythe de l'Europe combattante d'Adolf HITLER. Son organisation politique et guerriĂšre, la Waffen-SS, Ă©clipsait, par la magie de la propagande, le souvenir de la Wehrmacht, nationaliste et traditionnelle, des premiĂšres annĂ©es quarante. La Waffen-SS n'Ă©tait plus, Ă  en croire ses recruteurs, une force uniquement allemande. Elle se disait et se voulait internationale. Tous les murs du continent se couvraient d'une mĂȘme affiche, oĂč dĂ©filaient des soldats armĂ©s et casquĂ©s, portant au col les deux lettres runiques. La lĂ©gende proclamait, en des langues diffĂ©rentes selon les pays de recrutement AVEC TES CAMARADES EUROPEENS SOUS LE SIGNE SS TU VAINCRAS ! Plus d'un million d'hommes furent ainsi appelĂ©s Ă  vivre une aventure politique et guerriĂšre qui n'avait pas eu d'Ă©quivalent dans l'histoire - si ce n'est lors de la premiĂšre campagne de Russie, lorsque NAPOLEON avait IncorporĂ©, dans le cadre de sa Grande ArmĂ©e, pour prĂšs de la moitiĂ©, des combattants Ă©trangers, venus de la plupart des pays d'Europe. Mais, cette fois, on proposait aux volontaires de rejoindre la garde impĂ©riale ellemĂȘme. Dans les premiĂšres annĂ©es du mouvement national-socialiste, quelques militants issus de la SA avaient prĂȘtĂ© un serment personnel Ă  Adolf HITLER et prirent le nom de Stabwache7 . L'unitĂ© deviendra ensuite la Stosstruppe8 Adolf HITLER. A sa sortie de prison, aprĂšs l'Ă©chec du coup d'Etat de Munich de 1923, le FĂŒhrer dĂ©cida, parallĂšlement Ă  l'action politique, de dĂ©velopper deux organisations paramilitaires la SA, troupe de masse, et la SS, unitĂ© d'Ă©lite. Je me disais Ă  l'Ă©poque, Ă©crira-t-il, que j'avais besoin d'une troupe de gardes du corps ; elle pouvait ĂȘtre peu nombreuse, mais il fallait qu'elle me fĂ»t entiĂšrement dĂ©vouĂ©e. Mieux vaut n'avoir dans une ville que vingt hommes Ă  soi sur lesquels on puisse compter absolument que d'avoir la confiance de la masse versatile. Le 21 septembre 1925, chaque section du parti national-socialiste reçut l'ordre de crĂ©er une Schutzstaffel. Les premiers SS n'Ă©taient pas plus de dix dans chaque ville seul Berlin en possĂ©dait vingt. Ils portaient alors la chemise brune, comme les SA, mais arboraient, sur une casquette noire, la tĂȘte de mort des vieux rĂ©giments de hussards impĂ©riaux. En 1926, les SS reçurent la garde du drapeau du sang », celui des nazis tuĂ©s le 9 novembre 1923, lors du putsch avortĂ© de Munich. En butte aux coups des adversaires et au mĂ©pris de la SA - la vieille jalousie entre les troupes de ligne et la garde - la SS adopta pour premiĂšre devise Noblesse se tait. Elle ne comprenait encore que deux cent quatre-vingts hommes, quand, le 6 janvier 1929, Adolf HITLER plaça Ă  sa tĂȘte un garçon de vingt-huit ans, qui voulait devenir officier, puis ingĂ©nieur agronome. C'Ă©tait lui qui portait la banniĂšre du mouvement nationaliste, la Reichskriegflagge, lors du putsch de Munich. Il se nommait Heinrich HIMMLER. Au dĂ©but de 1930, les SS comptaient deux mille hommes, qui devinrent cinquante-deux mille lors de la prise du pouvoir et deux cent cinquante mille Ă  la veille de la guerre. Tandis que se dĂ©veloppait l'Allgemeine-SS, ou SS gĂ©nĂ©rale, se constituaient d'autres branches, de l'organisation. DĂšs 1931, deux ans avant la prise du pouvoir, Himmler avait créé le SD9 , service officiel de renseignement du parti national-socialiste. En 1936, HIMMLER devint le chef de la police allemande et reçut le titre de ReichfĂŒhrer SS. DĂšs la prise du pouvoir, la SS-Stabwache, sous la direction de Sepp DIETRICH, forma la garde personnelle d'Adolf Hitler, pour prendre, peu aprĂšs, le nom de Leibstandarte Adolf HITLER et devenir le noyau de la premiĂšre division de la Waffen-SS. Lors du rĂ©tablissement du service militaire obligatoire, en 1935, il fut créé des unitĂ©s permanentes les SS-VerfĂŒgungstruppe10 VT, qui furent entraĂźnĂ©es au combat aussi bien, et mĂȘme souvent mieux, que des unitĂ©s militaires. Il y eut ainsi deux rĂ©giments de VT. Ils servirent de noyau Ă  la deuxiĂšme division de la Waffen-SS, la division bas Reich. Par ailleurs, il existait des formations de SS encasernĂ©es les SS-TotenkopfverbĂ€nde, chargĂ©es de la garde des prisonniers du rĂ©gime, qui comprenaient quatre rĂ©giments en 1938 et douze en 1939, et contribuĂšrent Ă  la formation de la troisiĂšme division de la Waffen-SS, la division Totenkopf11 . HIMMLER tenait Ă  ce que les hommes de la SS, choisis selon des critĂšres physiques et moraux draconiens, ne soient pas des planquĂ©s » dans un conflit futur, mais deviennent les meilleurs soldats du front. De cette idĂ©e naquit la Waffen-SS. A la fin de la campagne de Pologne, il existait dĂ©jĂ  quatre divisions de la Waffen-SS dont une division de police. DĂšs le printemps 1940 se constitua le noyau d'une cinquiĂšme unitĂ©, la division Wiking. Son originalitĂ© Ă©tait d'admettre dans ses rangs des volontaires germaniques » Danois, NorvĂ©giens, Hollandais ou Flamands. Le moins qu'on puisse dire est que la Wehrmacht traditionnelle ne voyait pas d'un bon Ɠil la constitution de troupes d'Ă©lite Ă©chappant totalement Ă  son contrĂŽle. Si la valeur militaire des SS apparaissait incontestable, leur fanatisme politique, leur recrutement international et leur rĂ©putation impitoyable ne pouvaient qu'inquiĂ©ter les militaires allemands classiques». Aussi le GruppenfĂčhrer1 Gottlob BERGER, bras droit de HIMMLER pour tout ce qui concernait la WaffenSS et ses problĂšmes de personnel, eut-il un certain mal Ă  recruter des hommes en Allemagne mĂȘme. La Wehrmacht ne tolĂ©rait guĂšre l'Ă©crĂ©mage de son recrutement. C'est ainsi que, par la force des choses, qui compte autant parfois que l'idĂ©ologie, les Waffen-SS formĂšrent leurs divisions avec de jeunes Allemands rĂ©sidant hors des frontiĂšres du Reich les Volksdeutsche et de jeunes Ă©trangers sĂ©duits par le national-socialisme. Deux cent mille non-Allemands dans la Waffen-SS » Finalement la Waffen-SS compta dans ses rangs, au cours de la guerre, quatre cent mille Allemands natifs, trois cent mille Volksdeutsche dont de nombreux Alsaciens, cinquante mille Germaniques» et au moins deux cent mille EuropĂ©ens. Plus de trois cent mille hommes de la Waffen-SS devaient trouver la mort au combat. La politique d'intĂ©gration totale d'Ă©lĂ©ments non germaniques » dans la Waffen-SS posait un certain nombre de problĂšmes, notamment sur le plan linguistique, et aussi psychologique, par rapport aux gouvernements ou aux partis politiques des diffĂ©rentes nations europĂ©ennes. Si on continua Ă  encourager les engagements individuels, certains chefs estimĂšrent nĂ©cessaire d'opĂ©rer un regroupement par nationalitĂ©. Le dĂ©but de la guerre Ă  l'est, en juin 1941, donna un nouveau coup de fouet au recrutement l'idĂ©e de la lutte commune contre le bolchĂ©visme vint prendre la relĂšve de l'idĂ©e raciale germanique. Ainsi naquirent des rĂ©giments, des brigades et mĂȘme des divisions nationaux ». Le chef du Germanische Leitstelle13 de la Waffen-SS, l’ObersturmbannfĂ»hrer RIEDWEG, un chirurgien militaire d'origine suisse, fit beaucoup pour cette europĂ©anisation », rompant pour cela quelques lances avec les tenants du pangermanisme classique. Au moment oĂč les Français furent autorisĂ©s officiellement Ă  former une unitĂ© de la Waffen-SS, on y comptait dĂ©jĂ  des formations nationales » de Danois, de NorvĂ©giens, de Hollandais, de Flamands, de Finlandais, de Croates, d'Ukrainiens, de Bosniaques, de Lettons, d'Estoniens et de Wallons. Les originaires des pays neutres, Suisses ou SuĂ©dois, se trouvaient rĂ©partis selon leurs affinitĂ©s, tandis que des Luxembourgeois, des TchĂšques, des Lituaniens ou des Polonais avaient Ă©tĂ© enrĂŽlĂ©s dans des unitĂ©s allemandes ou multinationales. AprĂšs les Français devaient ĂȘtre formĂ©es d'autres unitĂ©s nationales avec les Albanais, les SlovĂšnes, les Hongrois, les RuthĂšnes, les Italiens, les Serbes, les Cosaques, les Roumains, les Bulgares, les Tyroliens, les Grecs et surtout les Russes. Il y eut mĂȘme un dĂ©tachement de Britanniques. Quant aux Espagnols auxquels se joignirent un certain nombre de Portugais, ils restĂšrent dans la Wehrmacht, oĂč ils formaient la division Azul. Dans les derniers mois de la guerre, on vit naĂźtre des formations caucasiennes, asiatiques, arabes et indiennes. Plus de trente nations fournirent ainsi des contingents de volontaires. En juillet 1943, l'idĂ©e de la Waffen-SS connaissait son apogĂ©e. Ce n'Ă©tait plus la troupe victorieuse de la guerre Ă©clair, mais pas encore la poignĂ©e des fanatiques du dernier carrĂ©. On venait de former une nouvelle division de la Waffen-SS, la division Hitlerjugend15 avec dix mille volontaires, ĂągĂ©s de dix-sept ou mĂȘme de seize ans. CommandĂ©e par un StandartenfĂŒhrer16 de trente-cinq ans, Fritz WITT, qui sera tuĂ© au combat le 12 juin 1944, prĂšs de Caen, cette unitĂ© de benjamins montrait que l'Allemagne Ă©tait dĂ©cidĂ©e Ă  exiger de sa propre jeunesse les plus grands sacrifices. Les divisions de la Waffen-SS se battaient trĂšs durement sur tous les fronts et jouaient une partie que l'on devinait dĂ©cisive. La situation Ă©tait sĂ©rieuse pour le IIIe Reich. Lorsque de jeunes Français s'engagĂšrent alors dans la Waffen-SS, ce n'Ă©tait certes pas pour voler au secours de la victoire. Le 10 juillet 1943, les AlliĂ©s avaient dĂ©barquĂ© en Sicile et, le 24, Benito MUSSOLINI avait Ă©tĂ© dĂ©missionnĂ© » par le Grand Conseil fasciste. Il se trouvait prisonnier et il semblait que l'Italie allait changer de camp. Rome avait tentĂ© de se soulever contre les Allemands. Sur le front de l'est, la plus grande bataille de chars de la guerre, engagĂ©e le 5 juillet dans la rĂ©gion de Koursk, tournait Ă  la dĂ©faite en une dizaine de jours ; pour les Allemands, c'Ă©tait un dĂ©sastre peut-ĂȘtre plus grave que Stalingrad. La retraite commençait devant le rouleau compresseur » de l'armĂ©e rouge. En aoĂ»t, Orel, Bielgorod et Kharkov devaient ĂȘtre repris par les Russes. La guerre aĂ©rienne contre les Anglo-amĂ©ricains Ă©tait perdue. La guerre sous-marine dans l'Atlantique se rĂ©vĂ©lait un autre Ă©chec. Les Italiens capitulaient le 8 septembre, mais, quatre jours plus tard, MUSSOLINI, gardĂ© prisonnier dans un hĂŽtel perdu en pleine montagne, dans les Abruzzes, Ă©tait dĂ©livrĂ© par un commando parachutiste dirigĂ© par un officier de la Waffen-SS Otto SKORZENY. Plus que jamais, l'arme Ă  laquelle SKORZENY appartenait Ă©tait l'arme des hommes dĂ©cidĂ©s Ă  se battre jusqu'au bout. 8 JUILLET 1941 AprĂšs l'invasion de la Russie par la Wehrmacht, le MarĂ©chal PĂ©tain autorise la crĂ©ation en France, sur la demande de plusieurs partis d'extrĂȘme-droite notamment du Rassemblement National Populaire de Marcel DĂ©at et du Parti Populaire Français de Jacques Doriot, de la LĂ©gion des Volontaires Français contre le Bolchevisme» Cette unitĂ© sous commandement allemand avec encadrement français porte la tenue vert de gris, les bottes et le casque allemand et un Ă©cusson bleu blanc rouge sur le bras. C'est une association, loi de 1901. La raison principale est que la France n'a pas dĂ©clarĂ© la guerre Ă  l' Par consĂ©quent les membres de la qui seraient pris par les soviĂ©tiques seraient considĂ©rĂ©s comme des francs-tireurs et pas comme des prisonniers de guerre et pourraient ainsi ĂȘtre fusillĂ©s sans la protection des conventions de GenĂšve. Elle recrute, entr'autre, parmi les anticommunistes, les chĂŽmeurs, les anciens militaires et aussi des aventuriers ou des membres de divers mouvements politiques français d'extrĂȘme-droite Francisme de Bucard, Ligue Française de Costantini, Parti Populaire Français de Doriot et Rassemblement National Populaire de DĂ©at. EugĂšne Deloncle ancien Camelot du Roi, leader de la Cagoule fondĂ©e le 6 fĂ©vrier 34, en est le premier PrĂ©sident. L'Ă©tat-major siĂ©gera au 12 rue Auber dans les anciens locaux de l'Intourist soviĂ©tique. 21 AOÛT 1941 Les premiers volontaires sont dirigĂ©s sur trois bataillons regroupĂ©s dans la caserne BORGNIS-DESBORDES Ă  Versailles. Les Ă©changes postaux de cette courte pĂ©riode sont ceux de la poste civile, avec dans la caserne de recrutement, un vaguemestre. Les plis postĂ©s Ă  la caserne bĂ©nĂ©ficieront de la Franchise Postale Ă  partir du 13 septembre. Photo prise Ă  l'Ersatzkommando Frankreich der Waffen-SS Ă  Paris. Plusieurs vĂ©tĂ©rans y travaillent comme Jean Balestre qui aurait fourni Ă  la rĂ©sistance, selon la rumeur, une longue liste comportant le nom et l'adresse des volontaires français. Curieusement il ne sera jamais inquiĂ©tĂ© Ă  la libĂ©ration malgrĂ© ses articles Ă©logieux au national-socialisme dans le journal "Devenir". Alphonse Godin est un ancien sous-officier de carriĂšre de l'armĂ©e française. Il combat en Pologne en 1920 dans les rangs de l'armĂ©e Weygand. Il obtient la barrette du ruban de l'ordre de la Pologne restaurĂ©e mais aussi le ruban de la mĂ©daille militaire. Ensuite il se tourne vers la Cagoule d'EugĂšne Deloncle et milite au MSR. Il s'engage dans la LVF puis devient recruteur Ă  la Waffen SS. Lui aussi travaille Ă  l'ErsatzkommandoFrankreich der Waffen-SS Conditions d'engagement A l'exception de juifs et de ceux qui ont encouru une condamnation infamante, tous les français, cĂ©libataires ou mariĂ©s, normalement dĂ©veloppĂ©s, aptes aux exigences d'une instruction militaire, peuvent s'engager Ă  la Waffen-SS - Age de 17 Ă  40 ans. Taille minima m Conditions d'avancement dans la Waffen-SS. Les volontaires simples soldats lors de leur engagement, qui prĂ©senteront les aptitudes requises, pourront ĂȘtre admis dans les Ă©coles de sous-officiers ou d'officiers de la Waffen SS. L'admission dans ces Ă©coles ne sera pas dĂ©terminĂ©es par les diplĂŽmes ou les titres universitaires des candidats mais seulement par les qualitĂ©s personnelles dont ils auront fait preuve et par leur aptitude au commandement. CONDITIONS MATÉRIELLES - I. SOLDE. - La solde est payĂ©e directement Ă  chaque volontaire, conformĂ©ment au barĂšme ci-dessous Francs SS-Mann et Sturmmann - soldat................... 600. » Rottenfubrer Unterscharfuhrer Scharfuhrer Oberscharft~hrer Hauptscharfuhrer Sturmscharfuhrer Untersturmfiihrer Obersturmfuhrer Hauptsturrnfuhrer Sturmbannfuhrer - caporal.................. - sergent.................. - sergent de carriĂšre



.. - sergent-chef











. - adjudant













... - adjudant-chef 








.. - sous-lieutenant





... - lieutenant







...... - capitaine













. - commandant






.




.. 720. » 840. » 900. » » » » » » » » En outre tous les volontaires, quel que soit leur grade, reçoivent un supplĂ©ment de Frs 20. par jour tant qu’ils se trouvent en premiĂšre ligne. Tous les officiers reçoivent une indemnitĂ© mensuelle d’habillement de Frs 600. ». SOUTIEN FAMILIAL. — A. Soutien de la femme. L’allocation est basĂ©e sur le revenu net antĂ©rieur du volontaire, suivant une Ă©chelle dĂ©gressive, Ă  savoir jusqu’à Frs » l’allocation s’élĂšve Ă  Frs » » - » » - » » - » » - » 7000. » - 3600. » » - » - » - » - » - » au-delĂ  de - » B. IndemnitĂ© aux enfants. — Outre l’allocation Ă  la femme, il sera allouĂ© pour chaque enfant de moins de I6 ans a demeurant avec la femme ou les parents du volontaire Frs 400. » b ne demeurant pas avec la femme ou les parents du volontaire Frs 600. » C. IndemnitĂ© aux parents. — Il est accordĂ© au pĂšre ou Ă  la mĂšre du volontaire une allocation spĂ©ciale dans le cas oĂč celui-ci intervenait pour au moins un quart dans le revenu de la famille. L’allocation est calculĂ©e suivant le barĂšme ci~dessous I parent francs 2 parents francs Pour une aide de Frs 700. » au moins 700. » - 701. » Ă  » » - » Ă  » » - plus de » » Il est admis que l’aide apportĂ©e par le volontaire ne saurait dĂ©passer les deux tiers de son propre revenu, un tiers Ă©tant considĂ©rĂ© comme nĂ©cessaire Ă  ses propres besoins. En outre, il est accordĂ© pour chaque frĂšre ou sƓur de moins de I6 ans une allocation de Frs 200. ». D. IndemnitĂ© de loyer. — En supplĂ©ment Ă  l’allocation prĂ©vue ci-dessus au § II A et B il est versĂ© une indemnitĂ© Ă©gale au loyer effectivement payĂ© par la femme du volontaire. Si le volontaire ou sa femme sont propriĂ©taires d’une habitation, il est allouĂ© une indemnitĂ© basĂ©e sur la valeur locative de l’habitation. II n’est pas allouĂ© d’indemnitĂ© de loyer aux parents du volontaire § II C. III. ALLOCATiON AUX CELIBATAIRES Les volontaires cĂ©libataires n’ayant ni enfants ni parents Ă  soutenir reçoivent une allocation suivant le barĂšme ci-dessous. Cette allocation est versĂ©e directement mais crĂ©ditĂ©e Ă  leur compte. Il leur est loisible de faire venir en France des sommes Ă  valoir sur ce compte. francs francs SS Mann et Sturmmann. » HauptscharfĂŒhrer...... » RottenfĂ»hrer......... » SturmscharfĂŒhrer...... » Unterscharfuhrer..... » UntersturmfĂŒhrer...... » Scharfubrer.......... » ObersturmfĂŒhrer....... » Oberscharftjhrer..... » HauptsturmfĂŒhrer...... » SturmbannfĂŒhrer



 » IV. PENSIONS En ce qui concerne les pensions d’invaliditĂ© et les pensions aux ayantsdroit des volontaires disparus, le rĂ©gime est identique Ă  celui de tous les membres de l’armĂ©e allemande. Il est notoire que celui-ci garantit aux invalides des conditions trĂšs libĂ©rales. V. La fixation et le rĂšglement des diffĂ©rentes allocations familiales sont effectuĂ©s par le FĂŒrsorgeoffizier der Waffen-SS, qui examinera tous les cas spĂ©ciaux non prĂ©vus dans l’exposĂ© ci-dessus. Le FĂŒrsorgeoffizier est Ă©galement compĂ©tent pour assurer la dĂ©fense des droits des volontaires ou de leur famille sous tous les points de vue. Voici trois frĂšres, trois volontaires nĂ©erlandais de la Waffen-SS Suis leur exemple, n’attends pas plus longtemps, prĂ©sente-toi dĂšs aujourd’hui. A PARIS, Ă  l’Ersatzkommando Frankreich der Waffen-SS, 24, avenue Recteur-PoincarĂ© mĂ©tro Ranelagh ; en PROVINCE, Ă  la Police allemande Kommando der Ordnungspolizei au siĂšge des PrĂ©fectures rĂ©gionales adresses ci-dessous ; en Allemagne Ă  l’ErgĂ€nzungstelle der Waffen-SS la plus proche. LISTE DES KOMMANDOS PARIS




















 Erzatzkommando Frankreich der Waffen-SS. 24, Avenue Recteur-PoincarĂ©. 28, Rue Lu BoĂ©tie. RENNES I-et-V.









. Kommando der Ordnungspolizei. 8. Boulevard Volney. MARSEILLE Kommando der Ordnungspolizei. 4. Boulevard Rivet. LIMOGES Hte-Vienne





. Kommando der Ordnungspolizei. 15. Rue Montalembert. BRIVE CorrĂšze







... Kommando der Ordnungspolizei. 11, Rue de l’HĂŽtel-de-Ville POITIERS Vienne.......... Kommando der Ordnungspolizei, 12. Avenue de Bordeaux. SAINT-QUENTIN Aisne



. Kommando der Ordnungspolizei, 2. Rue Charles-Picard. ROUEN Seine-Inf.......... Kommando der Ordnungspolizei. 53. rue de Reims. Rue Alain-Blanchard. ANGERS Maine-et-Loire


. Kommando der Ordnungspolizei, 19. Rue de la PrĂ©fecture. 40 Rue Saint-Julien. DIJON CĂŽte-d’Or






.. Kommando der Ordnungspolizei. 13, Cours du Parc. HĂŽtel Morot. 3 bis, Avenue du MarĂ©chal-Foch. GRENOBLE IsĂšre........... Kommando der Ordnungspolizei. HĂŽtel de Savoie. BORDEAUX Gironde......... Kommando der Ordnungspolizei, 328, Av. du MarĂ©chal-PĂ©tajn, Le Bouscat. 25, AllĂ©es de Tourny. CHALONS-SUR-MARNE Marne
. Kommando der Ordnungspolizei, 57, AllĂ©e Paul-Doumer, 16, AllĂ©e Paul-Doumer ORLEANS Loiret





 
. Kommando der Ordnungspolizei. 31, Rue Jules-LemaĂźtre. 9, Rue du Grenier-Ă -SeL CLERMONT-FERRAND Kommando der Ordnungspolizei. 63, Avenue du MarĂ©chal-PĂ©tain,. PERIGUEUX Dordogne....... Kommando der Ordnungspolizei. HĂŽtel RĂ©gina. MONTPELLIER HĂ©rault...
.. Kommando der Ordnungspolizei 25, Avenue Bouisson-Bertrand. TOULOUSE Haute-Garonne

. Kommando der Ordnungspolizei. 1, Rue Boulingrin. BESANÇON Doubs........... Kommando der Ordnungspolizei Promenade de Chamars. NANCY Meurthe-et-Moselle
 Kommando der Ordnungspolizei. 31, Boulevard Aibert-Ier.

\n\n affiche de recrutement pour la waffen ss

WaffenSS, SS tĂȘte de mort, SD, Gestapo, RHSA (office central de sĂ©curitĂ© du Reich), KriPo (la police criminelle) etc.,tout ça c'est la SS. Alors bien sĂ»r il y a des subtilitĂ©s.

L’Europe sous la domination nazie 1942 – 1945 Objectifs notionnels Ordre nouveau »* Oppression // Exploitation// Collaboration° [ RĂ©sistance° [ Gestapo Einseintzgruppen° [ Camps de concentration* Camps d’extermination* ProblĂ©matique Par quels moyens l’Allemagne nazie a-t-elle Ă©tabli sur l’Europe ? Quelle fut la typologie les aspects et la graduation de cette domination ? Quelles en sont les victimes? Quelles attitudes suscita-t-elle ? I°. Insertion dans le sujet 1°. La domination vue Ă  travers les textes Ü texte de Dans ce texte de type fonctionnel, Goering rappelle l’objectif de l’occupation allemande l’exploitation Ă©conomique des territoires. Ă  Type de domination et thĂšme La domination par l’exploitation Ă©conomique Ü TĂ©moignage d’une rescapĂ©e d’Auschwitz Ce texte de type privĂ© et littĂ©raire a valeur de tĂ©moignage. L’auteur, Charlote Delbo est une rescapĂ©e du camp de concentration d’Auschwitz. Elle dĂ©crit la souffrance psychologique et physique des prisonniers d’Auschwitz face Ă  la violence et Ă  la terreur des Nazis. Ă  Type de domination et thĂšme La domination sur les hommes l’oppression nazie 2°. La domination Ă  travers l’affiche Ü Affiche de propagande pour les Waffen en Belgique Ă  MĂ©thode pour l’étude d’une affiche Œ PrĂ©senter le ou le commanditaire s le Commandement des Waffen SS de Belgique  Dater la conception et faire la contextualisation historique 1943, apogĂ©e de la domination nazie en Europe occidentale, mais c'est aussi l'annĂ©e du reflux sur le front Est Stalingrad Ž PrĂ©ciser le lieu contextualisation gĂ©ographique La Belgique , occupĂ©e par l’Allemagne  L’Objet de l’affiche son pourquoi, son but, sa fonction Favoriser le recrutement de Waffen SS chez les Belges  Son contenu analytique les personnages, les messages Ă©crits § Le dragon rouge l’ennemi, reprĂ©sente l’URSS les communistes de façon gĂ©nĂ©rale et les Juifs. Synonyme de mort et de dĂ©solation, il se terre dans les tĂ©nĂšbres § Le Waffen SS § Le symbole des SS sous forme d’éclair § L’aube qui se lĂšve ‘ Le message explicite ou implicite § En signant chez les Waffen SS, les Belges contribueront Ă  vaincre l’ennemi communiste et notamment soviĂ©tique ’ La finalitĂ© de l’affiche § Amener la population belge Ă  soutenir le combat de l’Allemagne nazie contre l’URSS et donc Ă  collaborer La Waffen-SS littĂ©ralement arme de l'escadron de protection » fut la branche militaire de la Schutzstaffel SS, dont elle constitua l'une des composantes avec l'Allgemeine SS et le Sicherheitsdienst SD. Elle fut conçue Ă  l'origine par Heinrich Himmler comme une armĂ©e politique, uniquement constituĂ©e de nationaux-socialistes convaincus, soumis Ă  de sĂ©vĂšres critĂšres de sĂ©lection notamment basĂ©s sur les thĂ©ories raciales nazies. Au fil du temps, et surtout Ă  partir de la fin de l'annĂ©e 1942, elle intĂ©gra des troupes de toutes origines, des Volksdeutsche personnes d'origine germanique mais hors du Reich et des malgrĂ©-nous » Alsaciens et Mosellans dans une premiĂšre phase, puis des personnes essentiellement issues des pays occupĂ©s, de la Belgique Ă  l'Albanie, du Danemark Ă  l'Ukraine, sans se soucier de leur Ă©ventuelle origine germanique. Ces unitĂ©s non-allemandes furent largement majoritaires Ă  partir de 1944, avec prĂšs de 700 000 hommes sur un total de prĂšs d'un million de membres de la Waffen-SS pendant toute la durĂ©e du conflit. Avec des motivations diverses, allant de l'engagement nazi aux conflits ethniques locaux, les unitĂ©s Ă©trangĂšres de la Waffen-SS furent un appoint important aux opĂ©rations militaires allemandes. PrĂ©sentes sur tous les fronts de 1939 Ă  1945, Ă  l'exception de l'Afrique du Nord, les unitĂ©s de la Waffen-SS se rĂ©vĂ©lĂšrent de qualitĂ© variable nombre d'entre elles firent preuve d'une grande combativitĂ©, essentiellement sur le front de l'Est, Ă  partir de 1943. Elles se singularisĂšrent par le nombre de leurs exactions et de leurs crimes sur tous leurs théùtres d'opĂ©rations.

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Source MDP - 24/04/2017 1843- PAR VILMAUVE L'ADN idĂ©ologique du FN est une composante qu'il sera toujours impossible Ă  effacer. LĂ©on Gaultier, ancien SS, co-fondateur du Front National LĂ©on Gaultier, ancien SS, co-fondateur du Front National © Jack BrteLĂ©on Gaultier fut secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral Ă  l'Information du gouvernement du marĂ©chal PĂ©tain -, chroniqueur Ă  " Radio Vichy ", et fut l'un des fondateurs de la Milice française. Il combattit sous l'uniforme allemand de la Waffen-SS avec le grade de UntersturmfĂŒhrer, il commanda une unitĂ© française sur le Front de l'Est durant l'Ă©tĂ© 1944. En 1972, il compte parmi les membres fondateurs du conseil national du Front cofonde avec Jean-Marie Le Pen la maison d'Ă©ditions SERP SociĂ©tĂ© d'Ă©tudes et de relations publiques. Sur un album de La Serp, nous trouvons des discours de Joseph Goebbels ou Pierre Laval, cĂ©lĂšbre collabo du rĂ©gime de Vichy. Aussi, certains disques de chants nazis sont contrebalancĂ©s par des chants militaires "historiques" de l'armĂ©e allemande, mais aussiUn quadruple album dĂ©licatement intitulĂ© Le IIIĂš Reich – qui sera suivi de trois albums autour du mĂȘme thĂšme;Un album intitulĂ© Adolf Hitler – discours d'un dictateur;Trois albums nommĂ©s Les Waffen SS;Un triple album autour des jeunesses hitlĂ©riennes intitulĂ© Hitlerjugend 1926-1945;Un disque de discours de PĂ©tain;Un autre de poĂšmes dĂ©clamĂ©s par le collaborationniste Robert Brasillach et considĂ©rĂ© comme le plus"Ă©mouvant" par le pĂšre de la dirigeante du FN. Roland Gaucher ancien milicien co-fondateur du FN © Jack Brte Roland Gaucher ancien milicien co-fondateur du FN © Jack BrteRoland Gaucher, nĂ© Goguillot devient de fĂ©vrier 1942 Ă  1944, responsable des Jeunesses nationales populaires, mouvement de jeunesse du collaborationniste Rassemblement national populaire. Le 22 avril 1944, il demande au rĂ©gime de Vichy de dresser des listes d'otages et des poteaux d'exĂ©cution » Ă  un rythme plus soutenu. Il est condamnĂ© fin 1944 et libĂ©rĂ© en est ensuite journaliste dans de nombreuses publications comme Est Ouest de 1949 Ă  1959 ou l’Auto-Journal de 1960 Ă  1965, puis au journal Minute Ă  partir de 1965, en qualitĂ© de grand reporter. Journaliste d'investigation, il se spĂ©cialise dans la dĂ©nonciation des organisations communistes, et travaille en particulier Ă  l'Institut d’histoire sociale de Georges octobre 1972, il est un des fondateurs du Front 1984, il fonde avec Michel Collinot National-Hebdo, l'hebdomadaire du Front national, dont il est le rĂ©dacteur en chef jusqu'en 1993. En 1991, il rachĂšte Le Crapouillot avec Jean-François Galvaire, journal qu'il dirige jusqu'en 1994. Il est conseiller rĂ©gional FN Picardie, 1986-1987 puis Franche-ComtĂ© 1992- 1998 , et dĂ©putĂ© europĂ©en FN 16 avril 1986 - 24 juillet 19894. Il est Ă©galement tĂȘte de liste FN dans le XIXe arrondissement de Paris en 1983 et en 1988, Well Emmanuel Allot, dit François Brigneau François Brigneau, ancien milicien, vice-prĂ©sident du Front national © Jack Brte François Brigneau, ancien milicien, vice-prĂ©sident du Front national © Jack BrteMembre du Rassemblement national populaire de Marcel DĂ©at, il s'oriente vers la Collaboration durant la Seconde Guerre mondiale. En juin 1944, au lendemain du dĂ©barquement alliĂ© en Normandie, il s'engage dans la Milice. Un demi-siĂšcle plus tard, il tire une certaine gloire » de cet engagement. ArrĂȘtĂ©, il est emprisonnĂ© Ă  Fresnes oĂč il partage la cellule de Robert 1972, il participe Ă  la fondation du Front national et devient vice-prĂ©sident du Front National de 1972 Ă  a collaborĂ© en tant qu'Ă©ditorialiste, dans les annĂ©es 1980 et 1990, Ă  l'hebdomadaire National-Hebdo, dont la rĂ©daction est domiciliĂ©e dans les locaux du Front national. Il fut Ă©galement le responsable de la rubrique tĂ©lĂ©vision de National-Hebdo, signant ses articles du pseudonyme fĂ©minin de Mathilde Brigneau s'emploie rĂ©guliĂšrement dans ses Ă©ditoriaux Ă  dĂ©noncer l'influence exercĂ©e selon lui par la communautĂ© israĂ©lite. Il fut plusieurs fois condamnĂ© pour Ă©crits antisĂ©mites par la 17e chambre correctionnelle de les Ă©lections europĂ©ennes de juin 2009, François Brigneau Ă©crit avoir Ă©tĂ© tentĂ© de voter pour la liste anti-sioniste » conduite par DieudonnĂ© Roger Holeindre conseiller spĂ©cial de Marine Le Pen © Jack Brte Roger Holeindre conseiller spĂ©cial de Marine Le Pen © Jack BrteRoger Holeindre engagĂ© dans l'OAS, il purga une peine de Ă  ses engagements, il continue parallĂšlement son engagement Ă  l'extrĂȘme droite, conseillant les jeunes militants du mouvement Occident. Pour l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 1965, il fait partie du service d'ordre de Jean-Louis Mai 68, il fondera d'autres mouvements nationalistes et antigaullistes,dont les Jeunesses patriotes et sociales JPS, et le Parti national populaire, tout en dirigeant la revue Contre-poison. Il tente sans succĂšs d'unifier les mouvements d'extrĂȘme droite autour de son 1972, Roger Holeindre participe aux cĂŽtĂ©s de Jean-Marie Le Pen Ă  la finalisation de la fondation du Front national, initiĂ© par Ordre nouveau, mouvement d'extrĂȘme droite, dont il est plus tard Ă©lu dĂ©putĂ© de la Seine-Saint-Denis 1986-1988.Il est par la suite l'un des vice-prĂ©sidents du Front dirige la liste Front national aux Ă©lections territoriales de Corse en 1998 oĂč il manque le seuil de qualification au second tour. À la suite de l'annulation de ces Ă©lections, il retente sa chance en liste complĂšte serait trop longue. Rajoutons toute fois Victor BarthĂ©lĂ©my, ancien dirigeant du Parti du Peuple Français de Doriot, stalinien ralliĂ© au nazisme, ancien membre du comitĂ© central de la LVF, ancien de Sigmaringen, ancien compagnon de Simon Sabiani quel pedigree !, qui participe lui aussi Ă  la crĂ©ation du FN, dont il restera membre jusqu'en le mĂȘme sujet
Ensembled'affiches diffusĂ©es en France : affiches de Vichy, affiches de propagande alliĂ©es ou allemandes. Identifiez-vous Menu; Identifiez-vous; Accueil; Recherche Expositions Blog des collections En savoir plus Retour. Plan de classement . Affiches de la Seconde Guerre mondiale Affiches françaises ‱ Propagande de Vichy. RĂ©volution nationale et propagande marĂ©chaliste.
C' est exacte Systema, ça concernait les jeunes appelés sous les drapeaux, afin d' effectuer leur service national. Ils pouvait donc devancer l' appel, c' est à dire partir plus vite que leurs classe , certains à l' inverse faisaient un report pour finir leurs études. Pour rappel A 16 ans tout les garçons devaient se rendre à leur mairie afin de se faire recenser, là le jeune pouvait demander un report pour finir ses études. A 18 ans ou plus si il y avait report le jeune partait faire ses " 3 jours ", qui en réalité duraient un jour et demi, à l' issue soit il était déclarer " apte " soit " exempté " ou " ajourné " réexaminé plus tard . " L' appel " se faisait dans la vingtiÚme année appel les mois pairs février - avril - juin - aout - octobre - décembre mais en devançant l' appel, on pouvait partir à partir de 18 ans, pour 10 ou 24 mois au choix de l' appelé.
Decette force, qui passera de 23 000 hommes en 1938 Ă  600 000 combattants en 1944, Jean-Luc Leleu nous propose la premiĂšre histoire complĂšte. Cette histoire.

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Affichede recrutement en français. Le 7 octobre 1943, le centre de recrutement de la Waffen SS est inauguré, rue Chartran. Le mois suivant, Carcassonne est choisie comme lieu de rassemblement pour les Waffen SS de la région de Montpellier. La cadence des départs est de 10 par semaine. Depuis la création du bureau de recrutement SS, la L.V
Culture L'historien Xavier Bougarel retrace l'histoire de la division Waffen-SS musulmane de Bosnie et s'effraie de sa propre audace, dans un essai passionnant. PubliĂ© le 4 octobre 2020 Ă  11h00 Volontaires de la division Handschar. Créée en 1943, la 13e division Waffen-SS fera rĂ©gner la terreur dans le sud-est de la Bosnie Ă  partir de 1944. © TALLANDIER/BRIDGEMAN IMAGES Depuis la guerre qui a ensanglantĂ© la Bosnie-HerzĂ©govine entre 1992 et 1995, la mĂ©moire de la division Handschar hante les Balkans. Les Serbes n’ont jamais compris la volontĂ© occidentale de nier les liens affectifs, sinon idĂ©ologiques, d’une partie des combattants musulmans avec cette division de la Waffen-SS Ă  laquelle leurs pĂšres avaient adhĂ©rĂ©, un demi-siĂšcle plus tĂŽt. Ils n’ont jamais compris cette fascination pour le “dĂ©mocrate” Alija Izetbegović, qui avait commencĂ© sa carriĂšre, en 1943, en militant dans l’organisation des Jeunes Musulmans, proche du rĂ©gime oustachi et de l’occupant allemand, et qui, en 1972, avait publiĂ© des extraits de sa fameuse “DĂ©claration islamique” dans un journal tenu par l’ancien imam SS Husein Dozo. C’est Ă  cet autre “passĂ© qui ne passe pas” que s’est intĂ©ressĂ© l’historien Xavier Bougarel, spĂ©cialiste des Balkans, dans un livre trĂšs documentĂ© issu de ses recherches dans plusieurs fonds d’archives et d’entretiens avec des vĂ©tĂ©rans Waffen-SS de Bosnie. Il en ressort un livre passionnant pour la qualitĂ© des informations qu’il livre sur l’histoire de la division Handschar, bien sĂ»r, mais plus gĂ©nĂ©ralement sur le dĂ©roulement incroyablement complexe du conflit mondial en Europe du Sud-Est, oĂč les “guerres dans la guerre” et les changements d’alliance sur le terrain lui donnent des caractĂ©ristiques trĂšs Ă©loignĂ©es des fronts europĂ©en et russe. Aux origines de la division C’est par un dĂ©cret signĂ© par Adolf Hitler qu’est créée la 13e division Waffen-SS, le 10 fĂ©vrier 1943, qui prendra en mai 1944 le nom de “Handschar” “Poignard”. La Yougoslavie avait capitulĂ© le 17 avril 1941 et avait Ă©tĂ© dĂ©mantelĂ©e au profit de ses voisins. La Serbie Ă©tait rĂ©duite Ă  un protectorat militaire et un État indĂ©pendant de Croatie Ă©tait créé, dirigĂ© par Ante Pavelić, qui comprenait les territoires actuels de la Croatie et de la Bosnie-HerzĂ©govine. DĂšs l’étĂ© 1941, les Oustachis commettaient des massacres contre les juifs et les Serbes, ces derniers reprĂ©sentant un peu plus de 30 % de la population du nouvel État. Des soulĂšvements spontanĂ©s eurent lieu en rĂ©ponse aux exactions, qui se structurĂšrent bientĂŽt en deux mouvements de rĂ©sistance les partisans communistes et le mouvement tchetnik, des nationalistes serbes fidĂšles au roi Pierre de Yougoslavie. Le jeune État croate perdait le contrĂŽle d’une partie de son territoire, notamment la Bosnie du Nord-Est, que la 13e division sera prĂ©cisĂ©ment chargĂ©e de “nettoyer”. La dĂ©faite allemande Ă  Stalingrad et la capitulation italienne donnĂšrent de l’ardeur aux partisans qui virent de plus en plus de Croates et de musulmans passer de leur cĂŽtĂ©. L’armĂ©e rĂ©guliĂšre croate Ă©tant affaiblie, les Allemands se retrouvĂšrent en premiĂšre ligne dans la lutte anti-partisans et il n’était pas question de retirer des hommes des autres fronts ils dĂ©cidĂšrent donc de crĂ©er une division Waffen-SS “locale” formĂ©e de volontaires, mĂȘme si une part de ces “volontaires”, comme en Alsace-Moselle, seront en fait enrĂŽlĂ©s de force. Cette division, constituĂ©e de 21 065 hommes en dĂ©cembre 1943, encadrĂ©e principalement par des officiers allemands, partit s’entraĂźner en France Ă  Villefranche-de-Rouergue, oĂč eut lieu une mutinerie puis en Allemagne, avant de revenir en Bosnie en mars 1944, oĂč elle commit des massacres sur les juifs rescapĂ©s des persĂ©cutions oustachies et les civils serbes. La dĂ©cision de crĂ©er cette division Waffen-SS musulmane est donc circonstancielle. Elle obĂ©it cependant Ă©galement Ă  une double fascination celle de Hitler et de Himmler pour l’islam, religion guerriĂšre qu’ils opposaient Ă  la supposĂ©e mollesse du christianisme ; celle Ă©galement d’une partie des Ă©lites musulmanes pour le nazisme et le FĂŒhrer dans lequel Amin al-Husseini n’hĂ©sitait pas Ă  voir un “second prophĂšte”. InstallĂ© Ă  Berlin dĂšs 1941, le mufti de JĂ©rusalem partageait le point de vue de Hitler selon lequel l’Allemagne et les Arabes ont les mĂȘmes ennemis, les Anglais et les bolcheviks, [
] derriĂšre lesquels se cache la domination juive ». LiĂ© Ă  des notables de Bosnie, il n’a eu de cesse d’Ɠuvrer au rapprochement de l’islam et du nazisme, dont la 13e division lui paraissait ĂȘtre le premier exemple concret de coopĂ©ration germano-musulmane ». Une histoire qui dĂ©range C’est peu dire que cette histoire dĂ©range. Elle fait vaciller notre bonne conscience issue de la dĂ©colonisation, qui considĂšre les musulmans comme des victimes de toute Ă©ternitĂ©. Le site Slate, d’ordinaire sans concession pour les “collabos” de tout poil, Ă©crivait rĂ©cemment Ă  propos de ce livre Si une partie des responsables musulmans de Bosnie rĂ©pond favorablement [Ă  la crĂ©ation de la division], la collaboration des musulmans de Bosnie demeure relativement rĂ©duite et le nombre de volontaires dans la SS est faible, un peu plus de 20 000 hommes y ont participĂ©. » Faible ? On se frotte les yeux. La population musulmane de Bosnie Ă©tait de 1,5 million d’habitants en 1943. À titre de comparaison, environ 8 500 Français se sont engagĂ©s dans la Waffen-SS pour une population de 40 millions d’habitants ! L’auteur, lui-mĂȘme, n’échappe pas Ă  une forme de schizophrĂ©nie. En historien scrupuleux, il met tous les documents sur la table, mais ne peut s’empĂȘcher de les relativiser. Les Jeunes Musulmans louent Adolf Hitler dans un meeting ? Il ne faut pas accorder trop d’importance Ă  cet Ă©vĂ©nement. » L’anti-sĂ©mitisme ? Celui des officiers allemands ne fait pas de doute, mais il n’est pas susceptible d’expliquer les choix politiques » des imams participant activement au recrutement. Les massacres commis par la troupe ? Sous la contrainte », selon les tĂ©moignages des anciens Waffen-SS musulmans aprĂšs la guerre. Pouvaient-ils dire autre chose ? L’impression qui se dĂ©gage est donc celle de Waffen-SS musulmans qui se sont engagĂ©s pour des raisons essentiellement matĂ©rielles, qui ont dĂ©sertĂ© dĂšs qu’ils l’ont pu et dont il est permis de penser qu’ils n’ont jamais adhĂ©rĂ© Ă  l’idĂ©ologie nazie. L’auteur finit du reste par exagĂ©rer quand il rappelle en conclusion que des musulmans de Croatie ont créé, en 1991, une “division Handzar” et qu’il ajoute que ce choix relĂšve plus de la provocation guerriĂšre que d’une rĂ©elle volontĂ© de renouer avec la tradition de la Waffen-SS ». Une mansuĂ©tude pour le moins Ă©tonnante, dont on craint, hĂ©las, d’avoir saisi les ressorts intimes

Affichede propagande de la Waffen SS Description du produit. Affiche de recrutement des volontaires Germaniques de la Waffen SS ,format 58 /84 cm. l'affiche a été entoilée afin de la proteger au maximum et d'éviter sa détérioration . N'hesitez pas a nous contacter pour un paiement en plusieurs fois. Illustrations du produit. Commander ce produit Référence FRE
Drapeau de la LĂ©gion flamande. Affiche de recrutement pour la LĂ©gion flamande. La LĂ©gion flamande Vlaams Legioen fut une unitĂ© militaire composĂ©e de volontaires flamands qui combattirent, aux cĂŽtĂ©s des allemands, l'ArmĂ©e rouge sur le front de l'Est durant la Seconde Guerre mondiale. Historique PrĂ©curseurs de la LĂ©gion Standarte Westland et Standarte Nordwest DĂšs la crĂ©ation de la Waffen-SS, un conflit opposa le ReichsfĂŒhrer-SS Heinrich Himmler et l'armĂ©e rĂ©guliĂšre allemande la Wehrmacht. Les gĂ©nĂ©raux allemands voyaient dans la Waffen-SS, qui Ă©tait en quelque sorte le bras armĂ© d'une organisation politique, une menace pour leur position. La Wehrmacht reçut d'Adolf Hitler la promesse qu'annuellement seulement 2% des recrues allemandes seraient autorisĂ©es Ă  rejoindre les rangs de la Waffen-SS. AprĂšs l'invasion de la NorvĂšge et du Benelux, Himmler a vu l'occasion pour la Waffen-SS d'accroĂźtre ses effectifs avec des soi-disant volontaires germaniques, qui seraient recrutĂ©s en dehors de l'Allemagne et ne seraient donc pas soumis Ă  l'arrangement avec la Wehrmacht. À la fin juin 1940, le Standarte Westland fut créé et des appels parurent dans la presse flamande. L'Algemeene-SS Vlaanderen Ă©tait particuliĂšrement engagĂ©e dans le recrutement de volontaires. À Anvers, l'occupant allemand ouvrit une bureau de recrutement appelĂ©e ErgĂ€nzungsstelle sous la direction du HauptsturmfĂŒhrer Leib, mais en raison des critĂšres sĂ©vĂšres en matiĂšre de sĂ©lection, il ne restait que 45 volontaires pour le rĂ©giment SS-Westland, composĂ© de Flamands et de NĂ©erlandais. Ces volontaires flamands furent finalement absorbĂ©s par la 5e Panzerdivision SS Wiking. Afin d'intĂ©grer le grand nombre de personnes non-sĂ©lectionnĂ©es, Himmler dĂ©cida le 3 avril 1941 de crĂ©er le Freiwillige SS Standarte Nordwest, y assouplissant les conditions d'admission strictes. La taille minimale fut rĂ©duite Ă  1,65 m et l'enquĂȘte gĂ©nĂ©alogique fut moins approfondie. Les campagnes de recrutement eurent plus de succĂšs et environ 450 recrues flamandes se rendirent en Allemagne pour y suivre un entraĂźnement. Convictions des volontaires Bien que chaque volontaire eut ses propres raisons pour s'engager dans la Waffen-SS, on admet gĂ©nĂ©ralement que les 5 principales raisons furent Le charisme d'une armĂ©e allemande victorieuse. À l'Ă©tĂ© 1940, les Allemands semblaient invincibles et leur armĂ©e utilisait du matĂ©riel et les tactiques les plus modernes. L'aventure a attirĂ© beaucoup de jeunes. L'aspect pĂ©cuniaire. Un aspect qui ne peut certainement pas ĂȘtre sous-estimĂ© la Flandre a connu une crise majeure caractĂ©risĂ©e par un taux de chĂŽmage Ă©levĂ©. L'incorporation signifiait la sĂ©curitĂ© financiĂšre Ă©galement pour les autres membres de la famille.[rĂ©f. nĂ©cessaire] Le nationalisme flamand. C’est l’une des motivations les plus importantes la Belgique Ă©tait perçue comme un pays incapable de rĂ©pondre aux besoins flamands [rĂ©f. nĂ©cessaire] et ils souhaitaient que la Flandre prenne en main son destin. L'admiration pour le nazisme. Le VNV, le Verdinaso et l'encore plus fanatique DeVlag, les trois plus importants partisans de la collaboration en Flandre, prirent au fil du temps certains aspects de l'Allemagne nazie pour exemple et voulait contribuer au dĂ©veloppement d'une Europe dominĂ©e par l'Allemagne. Certains membres pensaient pouvoir jouer un rĂŽle dans la gestion de la Flandre aprĂšs la victoire allemande. Parce que le nationalisme flamand Ă©tait Ă  l'origine de ces partis, ce point et le prĂ©cĂ©dent sont, dans une certaine mesure, interconnectĂ©s. Les croyances des volontaires. Un exemple typique est la rĂ©sistance au communisme athĂ©e en tant que motif important pour rejoindre la LĂ©gion flamande. Juillet 1941 crĂ©ation de la LĂ©gion flamande Initialement, le recrutement en Flandre pour la Waffen-SS ne concernait que l'Algemeene-SS Vlaanderen. En avril 1941, le VNV dĂ©cida de soutenir la campagne de recrutement pour la Waffen-SS. Staff Declercq espĂ©rait ainsi accroĂźtre son influence politique. Le gĂ©nĂ©ral SS Gottlob Berger, chef du SS-Hauptamt und SS-ErgĂ€nzungsamt, avait en effet promis au VNV qu'en Ă©change d'un recrutement actif, le VNV deviendrait le seul parti politique en Flandre. La campagne de recrutement du VNV a vraiment commencĂ© aprĂšs l'attaque allemande contre l'Union soviĂ©tique le 22 juin 1941. Reimond Tollenaere, chef de la propagande du VNV, fut la principale inspiration de cette campagne de recrutement qui appelait la jeunesse flamande Ă  combattre le communisme sans Dieu. Le 7 juillet 1941, Staf Declercq annonçait la crĂ©ation d'une lĂ©gion flamande. Selon les promesses qu'il avait reçues de l'occupant allemand, cette unitĂ© serait entiĂšrement composĂ©e de Flamands, aussi bien officiers que soldats, et se battraient sous leur propre drapeau, le lion flamand. Le commandement serait dirigĂ© par un commandant SS, mais ils ne feraient pas partie de la Waffen-SS. Des personnalitĂ©s du VNV telles que Reimond Tollenaere, Jef François et Paul Suys postulĂšrent pour la lĂ©gion. Le 6 aoĂ»t 1941, environ 450 volontaires quittĂšrent Bruxelles pour le camp d'entraĂźnement Dębica en Pologne. EntraĂźnement ImmĂ©diatement aprĂšs leur arrivĂ©e au camp d’entraĂźnement, les premiers problĂšmes se posĂšrent. En plus de la LĂ©gion de volontaires nĂ©erlandais, les Waffen-SS flamands du Standarte Nordwest se trouvaient Ă©galement Ă  Dębica. Le HauptsturmfĂŒhrer Otto Reich, commandant du camp d'entraĂźnement, ordonna de rĂ©unir les Flamands dans une seule unitĂ©. Les hommes du Standarte Nordwest considĂ©raient les lĂ©gionnaires comme des soldats infĂ©rieurs et refusaient de coopĂ©rer avec eux. Les lĂ©gionnaires quant Ă  eux, ont tenu les promesses faites par Staf Declercq et refusĂšrent de porter un uniforme SS. Il Ă©tait clair que le SS-HauptsturmfĂŒhrer Otto Reich n'Ă©tait pas au courant des Ă©ventuels accords et qu'il n'allait pas s'immiscer dans ces diffĂ©rends politiques. Il rassembla tous les Flamands et leur proposa le choix de se battre contre le bolchevisme ou de rester en rĂ©serve derriĂšre le front. Environ la moitiĂ© choisit de se battre et ils furent affectĂ©s au Standarte Nordwest. Le reste fut temporairement affectĂ© Ă  la LĂ©gion de volontaires nĂ©erlandais. Au cours de la dure formation, il y avait peu de temps pour mener des discussions politiques. La discipline militaire ne faisait aucune distinction et les instructeurs allemands les entraĂźnaient Ă  la limite de leur endurance. Le 24 septembre 1941, le SS-Hauptamt et le SS-ErgĂ€nzungsamt dĂ©cidĂšrent de procĂ©der Ă  une profonde rĂ©organisation. Pour des raisons de propagande, il fut dĂ©cidĂ© qu'il Ă©tait plus intĂ©ressant d'utiliser des lĂ©gions de volontaires. Le Standarte Nordwest fut supprimĂ© et transformĂ© en la SS-Freiwilligen Legion Niederlande et la SS-Freiwilligen Legion Flandern. Sur le front Le 4 novembre 1941, le commandement de l'armĂ©e allemande estima que l'entraĂźnement de la LĂ©gion flamande Ă©tait terminĂ© et l'unitĂ© fut envoyĂ©e au front. Environ 1100 soldats rejoignirent le front Ă  LĂ©ningrad dans des conditions mĂ©tĂ©orologiques difficiles. Initialement, la LĂ©gion ne fut pas utilisĂ©e comme unitĂ© de premiĂšre ligne, mais employĂ©e dans la lutte contre les partisans. Les dirigeants de l'armĂ©e allemande ne faisaient pas suffisamment confiance aux unitĂ©s de volontaires Ă©trangers pour les dĂ©ployer au front. Dans le cadre de la 2. SS-infanteriebrigade, la lĂ©gion joua le rĂŽle d'unitĂ© de surveillance des ponts et des voies ferrĂ©es. Les premiers lĂ©gionnaires sont morts durant des combats contre les partisans. Cette façon de combattre donna aux Flamands l'expĂ©rience nĂ©cessaire et, au bout de six semaines, la lĂ©gion fut dĂ©ployĂ©e comme unitĂ© de premiĂšre ligne. La LĂ©gion flamande s'est vue attribuer un secteur de front dans la rĂ©gion marĂ©cageuse de Wolchow. Les volontaires espagnols se trouvaient au nord des flamands. Le 7 janvier 1942, la 2e ArmĂ©e de choc soviĂ©tique lance une attaque en direction de Leningrad dans l'espoir de briser l'encerclement de la ville par les Allemands. Les Russes ont fait un Ă©cart de 20 km dans les lignes de dĂ©fense allemandes, mais l’attaque s’enlisa vite dans les marais. De concert avec les Espagnols, la LĂ©gion flamande rĂ©ussi Ă  maintenir sa position aux prix de lourdes pertes. L'entĂȘtement avec lequel les Flamands dĂ©fendirent leurs positions donna aux Allemands la possibilitĂ© d'envoyer des renforts. Durant ces combats, Reimond Tollenaere est tuĂ© dans son bunker, touchĂ© par l'artillerie espagnole. Directement aprĂšs sa mort, le VNV dĂ©marra une campagne de propagande autour de sa personne, dissimulant habilement qu'il avait Ă©tĂ© tuĂ© par sa propre artillerie. Le 19 mars 1942, la contre-attaque allemande commença et la 2e armĂ©e de choc soviĂ©tique fut encerclĂ©e. La LĂ©gion flamande fut ensuite chargĂ©e de dĂ©truire les troupes soviĂ©tiques encerclĂ©es. Ces combats furent extrĂȘmement difficiles car les SoviĂ©tiques s'Ă©taient fermement retranchĂ©s dans d'innombrables bunkers et tranchĂ©es. Ce n'est que le 29 juin 1942 que les derniĂšres unitĂ©s soviĂ©tiques se rendirent. Pendant les combats, la LĂ©gion flamande fut mentionnĂ©e Ă  trois reprises dans le Wehrmachtbericht. AprĂšs six mois de front ininterrompus, la LĂ©gion flamande Ă©puisĂ©e fut relevĂ©e. Sur les 1100 soldats d'origine, il n'en restait qu'une centaine. AprĂšs une pĂ©riode de repos et l’'arrivĂ©e de nouvelles recrues, la LĂ©gion flamande fut de nouveau envoyĂ©e sur le front Ă  LĂ©ningrad le 21 juillet 1942. Les lĂ©gionnaires se distinguĂšrent dans cette guerre de position. Par petits groupes, ils attaquaient les bunkers soviĂ©tiques et la nuit, leurs patrouilles pĂ©nĂ©traient profondĂ©ment dans les lignes ennemies, oĂč ils effectuaient des embuscades. Le 12 janvier 1943 l'ArmĂ©e rouge lança sa seconde tentative pour libĂ©rer LĂ©ningrad. Le 10 fĂ©vrier 1943, la 55e armĂ©e russe attaqua les positions de la division Azul pour tenter de dĂ©gager la route reliant LĂ©ningrad Ă  Moscou. PrĂšs de Krasny Bor, les Espagnols rĂ©sistĂšrent Ă  trois divisions soviĂ©tiques, mais la force d'attaque soviĂ©tique fut finalement trop grande. La LĂ©gion flamande a reçu l'ordre de lancer une contre-attaque pour reprendre les hauteurs de StaraĂŻa Roussa. Bien que cette action fut un succĂšs, la LĂ©gion ne comptait plus que 50 soldats aprĂšs la bataille. Le 14 avril 1943, la LĂ©gion flamande fut renvoyĂ©e au camp d'entraĂźnement de Dębica et transformĂ©e en la 6. SS-Freiwilligen-Sturmbrigade Langemarck. Une partie des volontaires refusĂšrent de prĂȘter serment. Ils considĂ©raient leur intĂ©gration dans la Waffen-SS comme une violation des accords passĂ©s avec les dirigeants du VNV lors de la crĂ©ation de la LĂ©gion flamande. Commandants Nom Grade DĂ©but Fin Michael Lippert SS-SturmbannfĂŒhrer Septembre 1941 Avril 1942 Hans-Albert von Lettow-Vorbeck SS-ObersturmbannfĂŒhrer Avril 1942 Juin 1942 Hallmann SS-HauptsturmfĂŒhrer Juin 1942 Juin 1942 Josef Fitzthum SS-ObersturmbannfĂŒhrer Juin 1942 Juillet 1942 Conrad Schellong SS-SturmbannfĂŒhrer Juillet 1942 Mai 1943 Voir aussi Algemeene-SS Vlaanderen Division Langemarck Lien externe nlLĂ©gion Flandres Bibliographie nlBruno De Wever, Oostfronters. Vlamingen in het Vlaams Legioen en de Waffen-SS, 1984, ISBN 9789020911923 nlWilly Massin, Limburgers in het Vlaams Legioen en de Waffen-SS, 1991 nlKarl Unruh, Langemarck. Legende und Wirklichkeit, 1995, ISBN 3763759492 nlKristof Carrein, Vlamingen in de Waffen-SS en het Vlaams Legioen. Een sociografie, licentiaatsthesis UGent, 1998 nlPieter Jan Verstraete, Vlamingen aan de Narva. Kampfgruppe D'Haese, zomer 1944, 2015, ISBN 9789461536648 nlFrank Seberechts, Drang naar het Oosten. Vlaamse soldaten en kolonisten aan het oostfront, 2019, ISBN 9789463100830 Sources nl Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l’article de WikipĂ©dia en nĂ©erlandais intitulĂ© Vlaams Legioen » voir la liste des auteurs.
IV- La Waffen-SS française. download Plainte . Transcription . IV - La Waffen-SS française
De nombreux Français ont travaillĂ© pour les divers services de sĂ©curitĂ© allemands. La Gestapo comportait en ses rangs 6 000 agents français 2 500 Allemands et 24 000 informateurs. Durant la mĂȘme pĂ©riode, la RĂ©sistance compta 150 000 membres permanents et 300 000 occasionnels. Parmi les aides de la Gestapo, on relĂšve le parcours invraisemblable d’Henri BarbĂ©. Ouvrier mĂ©tallurgiste, il adhĂšre Ă  15 ans aux Jeunesses socialistes. Partisan de l’adhĂ©sion Ă  la IIIe Internationale, il opte pour le Parti communiste. En 1926, il succĂšde Ă  Jacques Doriot comme secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Jeunesses communistes, avant d’accĂ©der au Bureau politique en 1927. En 1929, il remplace Pierre SĂ©mard Ă  la tĂȘte du PCF, dans une Ă©quipe qui comprend Ă©galement Maurice Thorez et Pierre CĂ©lor. En 1931, il est mis en cause au cours d’une rĂ©union du Bureau politique auquel participe le reprĂ©sentant de Moscou, Manouilsky. AccusĂ© de fractionnisme, il est Ă©liminĂ© du BP et remplacĂ© par Thorez. Il est rĂ©trogradĂ© au poste de secrĂ©taire du rayon de Saint-Ouen. Exclu du PCF en 1934, il rejoint Jacques Doriot et fonde avec lui le PPF dont il est secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de 1936 Ă  1939. Il rejoint le RNP de Marcel DĂ©at. CondamnĂ© aux travaux forcĂ©s Ă  la LibĂ©ration, il est libĂ©rĂ© fin 1949. Il participe alors Ă  la revue anticommuniste Est-Ouest. Il meurt en 1966. DĂšs l’étĂ© 1941, il Ă©tait devenu l’agent personnel de Karl Bömelburg, chef de la Gestapo Ă  Paris. En 1943, les nazis l’aident Ă  installer Radio-VĂ©ritĂ© oĂč il propage ses idĂ©es des figures les plus abjectes de la collaboration fut certainement Henri Chamberlin dit Henri Lafont. Issu d’un milieu populaire, il est condamnĂ©, adolescent, Ă  la maison de correction. En 1930, il est proxĂ©nĂšte et indicateur de police Ă  Marseille. En 1940, il est condamnĂ© pour insoumission. Au dĂ©but de l’Occupation, il fonde un bureau d’achats pour le compte de la Wehrmacht. Il recrute ses premiers hommes de main parmi les dĂ©tenus de Fresnes. Il obtient la nationalitĂ© allemande avec le grade de capitaine. Il livre Ă  la Gestapo Otto Lambrecht, un des chefs de la RĂ©sistance belge. Il le torture de ses propres mains. 600 membres du rĂ©seau tombent. Il est rapidement secondĂ© par le premier policier de France » Pierre Bonny qui avait Ă©tĂ© chassĂ© de la police en 1935 pour trafic d’influence et dĂ©tournement de fonds. Lafont pille des Ɠuvres d’art appartenant Ă  des familles juives. En aoĂ»t 1944 cache son trĂ©sor de guerre estimĂ© Ă  200 millions de francs un instituteur gagnait environ 1 000 francs par mois. Il se rĂ©fugie en Espagne. Il se rend sans rĂ©sister le 30 aoĂ»t. Bonny et Lafont sont condamnĂ©s Ă  mort. Au moment de mourir, Lafont dĂ©clare Ă  son avocate Je ne regrette rien, quatre annĂ©es au milieu des orchidĂ©es, des dahlias et des Bentley, ça se paie ! Dites Ă  mon fils qu’il ne faut jamais frĂ©quenter les caves ». Il tombe sous les balles du peloton d’exĂ©cution la cigarette aux lĂšvres. Il n’est pas exclu que la French Connection ait Ă©tĂ© financĂ©e par l’argent de la bande Lien fut un bel exemple de rĂ©sistant retournĂ© par les nazis. Agent de la SNCF, il fait la connaissance en novembre 1940. Il est arrĂȘtĂ© le 2 novembre 1941. Il accepte de travailler pour les nazis et leur donne des renseignements sur Frenay et Bertie Albrecht qui se suicidera par pendaison dans le quartier des droits communs de la prison de Fresnes. La collaboration de Lien dĂ©bouchera sur l’exĂ©cution de 420 rĂ©sistants. Le 20 juillet 1946, Lien est condamnĂ© Ă  mort et fusillĂ© le 30 000 Français se sont battus sous uniformes allemands contre les SoviĂ©tiques. Une loi votĂ©e le 22 juillet 1943 les y autorisait. Ce fut le cas de nombreux membres de la LVF endossant l’uniforme de la Waffen-SS. Pour eux, il n’y a plus qu’un ennemi le bolchevisme. Ces hommes placent trĂšs haut la discipline, le sens du sacrifice, le mĂ©pris de la mort ». L’Internationale SS compte 600 000 non Allemands. L’un d’entre eux Ă©crit Je veux rompre avec le monde bourgeois qui m’entoure, celui de ma famille. Je crois au mythe de la rĂ©volution fasciste. Cet engagement est pour moi une rupture avec le monde ancien ». Pour un autre, Le marĂ©chal PĂ©tain entretient notre esprit dans une mentalitĂ© de vaincus. Cela devient insupportable. Je dĂ©couvre en ville des affiches d’une grande beautĂ© esthĂ©tique appelant Ă  s’engager. On ne pourra pas me reprocher d’ĂȘtre un opportuniste la guerre semble ĂȘtre perdue par l’Allemagne. Je m’engage en 1944 dans cette nouvelle chevalerie du Graal. »Des mouvements hostiles Ă  la RĂ©publique française vont prendre le train nazi en marche. C’est le cas des 600 Ă  3 000 selon les sources autonomistes bretons. Certains rejoignent mĂȘme la Gestapo allemande sous le nom de Kommando de Landerneau. Issu d’une famille catholique d’extrĂȘme droite Parti social français, Edouard Leclerc, le fondateur des supermarchĂ©s, fut emprisonnĂ© six mois aprĂšs avoir Ă©tĂ© accusĂ© d’avoir donnĂ© plusieurs noms d’habitants de Landerneau. Il bĂ©nĂ©ficiera d’un non-lieu en fĂ©vrier supplĂ©tifs français dans la traque aux Juifs furent nombreux 1 200 personnes Ă  Paris et organisĂ©s sous l’égide de Xavier Vallat puis Louis Darquier de Pellepoix qui dirigĂšrent le Commissariat gĂ©nĂ©ral aux questions juives dont l’une des fonctions Ă©tait d’aryaniser les biens des Juifs dĂ©noncĂ©s aux Allemands. Alphonse de ChĂąteaubriant rien Ă  voir avec le grand Ă©crivain rallia Ă  sa suite 42 000 individus dans le Groupe collaboration avant de mourir dans un monastĂšre du Tyrol. Marc Augier, pĂšre du journaliste-animateur Sylvain Augier, anima les jeunes du Groupe collaboration. Avant la guerre, proche de LĂ©o Lagrange, il avait organisĂ© le mouvement des Auberges de jeunesse et avait Ă©tĂ© l’ami de la communiste DaniĂšle Casanova. Il s’engagea dans la LVF, passa par Sigmaringen avant de se rĂ©fugier en AmĂ©rique latine et d’apprendre le ski Ă  Evita Peron. Sous le pseudonyme de Saint-Loup, il Ă©crivit de nombreux ouvrages, dont certains consacrĂ©s aux SS, et rata de peu le Goncourt, juste avant qu’on ne dĂ©couvre qui il Ă©tait vraiment. À noter Ă©galement le Parti national français collectiviste de Pierre ClĂ©menti et Robert Hersant, futur magnat de la presse française Le Figaro, La Voix du Nord, quotidien d’abord rĂ©sistant et socialiste, cinq fois réélu dĂ©putĂ© sous cinq Ă©tiquettes diffĂ©rentes que le pompidolisme et le giscardisme couvrirent d’honneurs et de puis il y a la collaboration Ă©conomique dont l’auteur dĂ©plore qu’elle soit survolĂ©e dans ce fichier 245 noms seulement. Cela dit 100% de l’industrie aĂ©ronautique, 100% de la grosse forge, 80% des bĂątiments des travaux publics, 60% de l’industrie du caoutchouc produisent Ă  destination de l’Allemagne. » Louis Renault que ses ayants droit ont longtemps tentĂ© de faire rĂ©habiliter fournit 34 000 vĂ©hicules Ă  l’armĂ©e allemande. TrĂšs peu de dirigeants Ă©conomiques seront condamnĂ©s Ă  la LibĂ©ration. On note l’exception de 23 des 48 grandes maisons de nĂ©goce de vin de Bordeaux. Il faut Ă©voquer la contiguĂŻtĂ© quasi incestueuse de mouvements fascistes menĂ©s par EugĂšne Deloncle CSAR, OSAR, Cagoule avec les parfumeurs de L’OrĂ©al d’EugĂšne Schueller, le pĂšre de Liliane Bettencourt. Monsavon finança la LVF. Mais le petit enfant de la publicitĂ© pour BĂ©bĂ© Cadum Ă©tait un Juif, français d’origine roumaine, dĂ©chu de sa nationalitĂ©, qui rejoignit la RĂ©sistance !Le fichier des collaborateurs compte 82 148 hommes et 14 344 Femmes. L’aristocratie française y est surreprĂ©sentĂ©e 1 357 entrĂ©es. Mais assurĂ©ment pas la haute Fonction publique, les corps constituĂ©s en gĂ©nĂ©ral. En revanche, on trouve en pagaille des petits commerçants, des instituteurs, des curĂ©s de campagne, des GENSANE Paris Le Cherche Midi, Partie
BrochĂ© 9,00 € 10 D'occasion Ă  partir de 9,00 € 1 De collection Ă  partir de 32,00 €. Au-delĂ  de la lĂ©gende noire qui s'attache Ă  cette unitĂ©, ce livre propose la premiĂšre histoire exhaustive et objective de la Waffen-SS. Issue de la troupe chargĂ©e dans les annĂ©es 1920 de protĂ©ger Hitler, la Waffen-SS est devenue avec la guerre
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Box Office RĂ©compenses Films similaires Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Amen" et de son tournage ! ComĂ©diens europĂ©ens en anglais Costa-Gavras avait d'abord pensĂ© engager des acteurs amĂ©ricains pour Amen. Il a finalement choisi les Allemands Ulrich Tukur et Ulrich MĂŒhe pour interprĂ©ter Kurt Gerstein et le Docteur. Alors que la production est entiĂšrement française, seuls deux comĂ©diens principaux le sont Mathieu Kassovitz et Michel Duchaussoy. Enfin, le tournage s'Ă©tant dĂ©roulĂ© Ă  Bucarest, beaucoup de seconds rĂŽles sont tenus par des Roumains comme celui du Comte Fontana interprĂ©tĂ© par Ion Caramitru. Mais la langue de tournage a Ă©tĂ© l'anglais. Grumberg et Costa-Gavras Avec Amen., c'est la deuxiĂšme fois que Costa-Gavras a l'occasion de travailler avec le dramaturge et scĂ©nariste Jean-Claude Grumberg. Celui-ci avait en effet signĂ© les dialogues de La Petite Apocalypse en 1993. Pour Amen. il a collaborĂ© directement Ă  l'Ă©criture du scĂ©nario. L'affiche d'Olivieiro Toscani C'est le trĂšs mĂ©diatique photographe italien Olivieiro Toscani, responsble entre autres des campagnes-choc pour Benetton, qui a trouvĂ© le titre Amen. grĂące Ă  une scĂšne oĂč Mathieu Kassovitz prononce ce mot. Il a Ă©galement rĂ©alisĂ© l'affiche une croix catholique rouge dĂ©formĂ©e en croix gammĂ©e sur fond noir avec des crĂ©dits blancs. Trois couleurs communes aux Nazis et au Vatican. Le Vicaire de Rolf Hochhuth Amen. est librement inspirĂ© de la piĂšce Le Vicaire de Rolf Hochhuth. Créée Ă  Berlin dans une mise en scĂšne de Erwin Piscator en 1963, cette oeuvre avait provoquĂ© un scandale en Allemagne et en Italie. MĂȘme en France, certains critiques s'offusquĂšrent des accusations portĂ©es contre le Vatican. Jean Vigneron Ă©crivit ainsi dans La Croix "Je pense que les chrĂ©tiens disposent contre le Vicaire d'une seule arme, mais trĂšs efficace l'abstention." Le personnage historique de Kurt Gerstein Le personnage principal, Kurt Gerstein, interprĂ©tĂ© par Ulrich Tukur a rĂ©ellement existĂ©. IngĂ©nieur et mĂ©decin Ă©vangĂ©liste, il s'oppose aux Nazis dĂšs 1933 bien qu'il ait adhĂ©rĂ© au Parti National Socialiste pour des raisons professionnelles. ArrĂȘtĂ© deux fois et internĂ© dans un camp de concentration en 1938, il dĂ©cide de rejoindre les rangs des SS en mars 1941. GrĂące Ă  ses compĂ©tences techniques et scientifiques, il occupe un poste Ă  l'institut d'hygiĂšne de la Waffen SS et combat efficacement le typhus. Il est nommĂ© ObersturmfĂŒhrer et assiste aux essais du Zyklon B sur les Juifs. Il ne cesse dĂšs lors d'alerter les reprĂ©sentants des Eglises chrĂ©tiennes et des AlliĂ©s sur le gĂ©nocide et tente de rencontrer le nonce du Pape. A la fin de la guerre, il est fait prisonnier par des Français Ă  Rottweil oĂč il rĂ©dige son Rapport Gerstein. TransfĂ©rĂ© Ă  Paris, il est accusĂ© de crimes contre l'HumanitĂ©. Il est retrouvĂ© pendu dans sa cellule en juillet 1945. Le doute plane toujours sur son suicide. Son corps fut inhumĂ© Ă  Thiais puis jetĂ© Ă  l'ossuaire. Il a Ă©tĂ© rĂ©habilitĂ© en 1965. Les Nazis vus par Costa-gavras Le rĂ©alisateur Costa-Gavras a dĂ©jĂ  abordĂ© le thĂšme de la Seconde guerre mondiale et des Nazis dans plusieurs de ses films. Section spĂ©ciale Ă©voquait la crĂ©ation d'une Cour spĂ©ciale par le gouvernement de Vichy pour juger les rĂ©sistants. Music Box racontait l'histoire d'une AmĂ©ricaine qui dĂ©couvre que son pĂšre est un ancien Nazi. Enfin, dans Un homme de trop, Costa-Gavras suivait un groupe de maquisards chargĂ©s de libĂ©rer des condamnĂ©s Ă  mort des mains des Allemands. Les secrets de tournage des films les plus populaires lors des 30 derniers jours Bullet Train 2022 Thor Love And Thunder 2022 Nope 2022 La Nuit du 12 2022 One Piece Film - Red 2022 As bestas 2022 Krypto et les Super-Animaux 2022 L'AnnĂ©e du requin 2022 Top Gun Maverick 2022 Joyeuse retraite 2 2022 Vesper Chronicles 2022 Les Minions 2 Il Ă©tait une fois Gru 2020 Ducobu PrĂ©sident ! 2021 Menteur 2022 Elvis 2022 Prey 2022 La trĂšs trĂšs grande classe 2020 Tempura 2020 La Petite Bande 2022 Decision To Leave 2022
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