Lelocataire a 2 mois pour payer ou demander un dĂ©lai de paiement auprĂšs du tribunal d’instance ou demander une aide financiĂšre Ă  un fonds de solidaritĂ© logement (FSL). La Commission de coordination des actions de prĂ©vention des expulsions locatives (CCAPEx) est Ă©galement informĂ©e de la situation. Si le locataire conteste les sommes Bonjour, nous vous remercions pour votre question. Au terme de l'article L411-1 du Code des procĂ©dures civiles d'exĂ©cution "Sauf disposition spĂ©ciale, l'expulsion d'un immeuble ou d'un lieu habitĂ© ne peut ĂȘtre poursuivie qu'en vertu d'une dĂ©cision de justice ou d'un procĂšs-verbal de conciliation exĂ©cutoire et aprĂšs signification d'un commandement d'avoir Ă  libĂ©rer les locaux". Pour plus d’information sur votre situation, n'hĂ©sitez pas Ă  contacter l'un de nos conseillers au L'Ă©quipe d'Avostart. RĂ©ponse du 9 juillet 2019
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Deuxfamilles dont les enfants sont scolarisés au lycée Bertrand-d'Argentré de Vitré ont été expulsées de leurs logements. Une manifestation de soutien a eu lieu lundi 31 mai.

Un rassemblement est prĂ©vu ce jeudi dĂšs 9 h devant le tribunal administratif de Marseille. Sa famille, sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français depuis le 10 janvier, a dĂ©posĂ© un recours au tribunal administratif qui sera examinĂ© ce jeudi. Le syndicat FSU apporte son soutien» Ă  SĂ©fo, scolarisĂ© en terminale au lycĂ©e Victor-Hugo 3e, et Ă  son frĂšre de 5 ans. Il est scolarisĂ© depuis 2011, la date de son arrivĂ©e en France aprĂšs avoir fui la MacĂ©doine oĂč il Ă©tait victime de persĂ©cutions du fait de son appartenance au peuple rom». SĂ©fo a intĂ©grĂ© une classe de 3e puis a Ă©tĂ© orientĂ© vers une classe gĂ©nĂ©rale europĂ©enne, une section qui requiert un bon niveau scolaire. Aujourd'hui, il s'apprĂȘte Ă  passer son baccalaurĂ©at ES», souligne la FSU dans un communiquĂ©. Le syndicat de la fonction publique refuse l'expulsion des sans-papiers, en particulier des jeunes en formation» et s'oppose ainsi Ă  toute dĂ©scolarisation de SĂ©fo et de son frĂšre Ă  cause de leurs situations administratives ou celles de leurs parents».

Depuisplus d’un mois, l’association Droit au logement a installĂ© un campement en plein Paris pour exiger le relogement des 200 personnes. Des familles menacĂ©es d’expulsion ou logĂ©es dans un logement insalubre, pourtant reconnues comme prioritaires Dalo. Published on Monday 28 September 2020 En cas de loyer impayĂ©, le locataire s’expose, aprĂšs examen de sa situation, Ă  la rĂ©siliation du bail et Ă  une expulsion de son logement. Pour Ă©viter les situations extrĂȘmes et les mises Ă  la rue, les pouvoirs publics s’efforcent de prĂ©venir, le plus tĂŽt possible, les expulsions locatives. La politique de prĂ©vention des expulsions locatives Les politiques prĂ©ventives datent du dĂ©but des annĂ©es 1990 et ont Ă©tĂ© renforcĂ©es par la loi de lutte contre les exclusions de 1998. Depuis, la logique poursuivie par les pouvoirs publics a Ă©tĂ© de passer d’un traitement de l’expulsion, considĂ©rĂ© comme un problĂšme d’ordre public, Ă  un traitement social et prĂ©ventif, le plus en amont possible, afin d’éviter la phase contentieuse et de limiter l’expulsion locative pour dettes de loyer aux seuls locataires de mauvaise foi. Pour ce faire, divers dispositifs de prĂ©vention sont mis en place la mise en place d’une procĂ©dure prĂ©-contentieuse spĂ©cifique avant saisine du juge, dans le parc social, l’instauration d’une dĂ©marche de prĂ©vention placĂ©e sous la responsabilitĂ© du prĂ©fet durant la phase contentieuse pour tous les locataires 1998 ; l’octroi de pouvoirs nouveaux au juge judiciaire et l’amĂ©nagement des conditions de rĂ©alisation des expulsions 1998 ; l’obligation de rĂ©aliser une charte dĂ©partementale de prĂ©vention des expulsions afin que l’ensemble des partenaires se mobilisent pour rĂ©duire sensiblement le nombre des expulsions 1998 ; les aides au maintien dans le logement des fonds de solidaritĂ© logement FSL ; la mise en place des protocoles de cohĂ©sion sociale, permettant dans le parc HLM le maintien du mĂ©nage dans les lieux et le rĂ©tablissement de l’aide personnelle au logement, mĂȘme aprĂšs rĂ©siliation de bail, sous rĂ©serve du respect par le locataire de ses engagements reprise du paiement rĂ©gulier du loyer et des charges ou versement de l’indemnitĂ© d’occupation lorsque le bail a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rĂ©siliĂ©, dĂ©but d’apurement de l’arriĂ©rĂ© locatif 2005 ; la crĂ©ation des commissions de coordination des actions de prĂ©vention des expulsions locatives CCAPEX, gĂ©nĂ©ralisĂ©es Ă  partir de la loi du 25 mars 2009 de mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion. L’objectif de cette commission est d’examiner les dossiers difficiles au cas par cas en associant les acteurs concernĂ©s, notamment les services de la prĂ©fecture, du conseil dĂ©partemental et les organismes payeurs des aides personnelles au logement CAF et MSA afin d’aider les mĂ©nages en difficultĂ© Ă  trouver une solution Ă  leur situation, le plus en amont possible de la procĂ©dure. Elle permet de rendre plus cohĂ©rent le traitement d’un dossier aux diffĂ©rents stades de la procĂ©dure d’expulsion. Une politique renforcĂ©e par la loi Alur dans l’objectif d’intervenir dĂšs les premiers incidents de paiement L’obligation est faite aux bailleurs personnes physiques de signaler Ă  la CCAPEX les commandements de payer les plus importants et aux bailleurs personnes morales de saisir la CCAPEX au moins deux mois avant l’assignation sous peine d’irrecevabilitĂ© de la demande ; La CCAPEX doit ĂȘtre systĂ©matiquement alertĂ©e par les CAF / MSA en vue de prĂ©venir la suspension des aides personnelles au logement APL et AL. La dĂ©cision de maintien de l’aide par l’organisme payeur est rĂ©putĂ©e favorable pour les locataires de bonne foi. Le dĂ©cret du 6 juin 2016 simplifie le maintien des aides au logement aux locataires de bonne foi en cas d’impayĂ©s, il met notamment en Ɠuvre le principe selon lequel les aides au logement sont maintenues pour les allocataires de bonne foi. Il poursuit un double objectif de rĂ©duction des dĂ©lais de procĂ©dure et de coordination renforcĂ©e avec la procĂ©dure d’expulsion locative. Il permet, en particulier, d’agir avant la constitution d’une dette importante que le locataire ne serait plus en capacitĂ© de rembourser et de prĂ©venir les expulsions en traitant le plus en amont possible la situation des allocataires en difficultĂ©. Mieux protĂ©ger les mĂ©nages menacĂ©s d’expulsion tout au long de la procĂ©dure d’expulsion et renforcer leur accĂšs au droit au logement opposable La systĂ©matisation du diagnostic social et financier » au stade de l’assignation, alors qu’avant l’enquĂȘte sociale » son ancienne appellation n’était exigĂ©e qu’en tant que de besoin ; Les mĂ©nages sont informĂ©s de la possibilitĂ© de dĂ©poser un recours au titre du DALO, au stade du jugement et au stade du commandement de quitter les lieux ; La commission de mĂ©diation DALO, lorsqu’elle reconnaĂźt le relogement d’un mĂ©nage prioritaire et urgent, peut saisir le juge aux fins de suspension de l'expulsion dĂ©lais de grĂące » et prise en compte par le juge, lorsqu’il Ă©tudie une demande de dĂ©lais de grĂące », d’un Ă©ventuel recours DALO ; L’allongement des dĂ©lais de paiement et des dĂ©lais de grĂące » pouvant ĂȘtre accordĂ©s par le juge de l’expulsion et le juge de l’exĂ©cution, ces dĂ©lais sont portĂ©s Ă  3 ans maximum, contre respectivement 2 ans et 1 an avant la loi ALUR ; La crĂ©ation d’un dĂ©lit pĂ©nal sanctionnant le fait d’expulser par la contrainte un mĂ©nage sans avoir obtenu le concours de l’État, Ă  l’aide de manƓuvres, menaces, voies de fait ou contraintes, hors les cas oĂč la loi le permet. Renforcer la coordination des dispositifs de prĂ©vention des expulsions et notamment la CCAPEX Le double rĂŽle de la CCAPEX est prĂ©cisĂ© par le dĂ©cret n°2015-1384 du 30 octobre 2015 un rĂŽle de coordination, d’évaluation et de pilotage de la politique dĂ©partementale en matiĂšre de prĂ©vention des expulsions locatives ; un rĂŽle de traitement des situations individuelles des mĂ©nages menacĂ©s d’expulsion. La dĂ©signation d’un correspondant par la CCAPEX auprĂšs de la commission de surendettement en vue de favoriser la coordination des actions est introduite ; La nĂ©cessitĂ© pour chaque dĂ©partement de se doter d’une charte de prĂ©vention de l’expulsion est rĂ©affirmĂ©e ; La charte dĂ©partementale pour la prĂ©vention des expulsions doit reflĂ©ter la mobilisation de l’ensemble des partenaires du territoire pour la prĂ©vention des expulsions locatives. Le dĂ©cret du 31 mars 2016 prĂ©cise le contenu ainsi que les modalitĂ©s d’élaboration, de signature et d’évaluation des chartes. Une politique consolidĂ©e par les lois EgalitĂ© CitoyennetĂ© et ELAN La loi du 27 janvier 2017 relative Ă  l’égalitĂ© et Ă  la citoyennetĂ© a complĂ©tĂ© le dispositif existant par les mesures suivantes La dĂ©matĂ©rialisation via l’application EXPLOC des signalements et saisines parvenant au prĂ©fet ou Ă  la CCAPEX dans le cadre d’une procĂ©dure d’expulsion en provenance des huissiers de justice et des bailleurs personnes morales ; L’ajout dans la liste des publics prioritaires pour l’attribution de logements locatifs sociaux des personnes menacĂ©es d’expulsion sans relogement » ; L’extension aux lieux habitĂ©s de certaines garanties encadrant la procĂ©dure d’expulsion et jusqu’alors rĂ©servĂ©e aux locaux d’habitation. La loi du 23 novembre 2018 portant Ă©volution du logement, de l’amĂ©nagement et du numĂ©rique ELAN a permis l’articulation de la procĂ©dure d’expulsion locative et de la procĂ©dure de surendettement article 118 de la loi afin de maintenir dans leur logement les locataires de bonne foi ayant repris le paiement de leur loyer et s’acquittant du remboursement de leur dette locative. La loi ELAN a ainsi mis fin aux injonctions contradictoires faites au locataire dĂ©biteur relatives au remboursement de sa dette locative qui, soit lui faisait perdre le bĂ©nĂ©fice du dispositif de traitement du surendettement si le locataire dĂ©biteur continuait Ă  payer son loyer, soit voyait la procĂ©dure d’expulsion reprendre s’il privilĂ©giait l’échĂ©ancier mis en place par la commission ou le juge du surendettement. PrĂ©vention des impayĂ©s et des expulsions articulation entre le surendettement et la rĂ©siliation du bail La trĂȘve hivernale la fin des expulsions, mais pas des poursuites La trĂȘve hivernale commence le 1er novembre et prend fin le 31 mars. Chaque annĂ©e, durant cette pĂ©riode, les locataires ne peuvent plus ĂȘtre expulsĂ©s de leur logement. Durant cette pĂ©riode, les locataires sont protĂ©gĂ©s de toute mise Ă  la rue. Ce dĂ©lai supplĂ©mentaire doit ĂȘtre mis Ă  profit pour activer tous les dispositifs de relogement. Cette trĂȘve signifie que tout jugement ordonnant l’expulsion d’un locataire, devenu dĂ©finitif, ne peut ĂȘtre exĂ©cutĂ© de force pendant cette pĂ©riode de grĂące. Elle s’applique mĂȘme si le juge a ordonnĂ© des dĂ©lais pour exĂ©cuter l’expulsion et que ces dĂ©lais ont expirĂ©. En revanche, la trĂȘve hivernale n’interdit pas aux propriĂ©taires de demander et d’obtenir un jugement d’expulsion, ni mĂȘme de signifier au locataire le commandement de quitter les lieux. En effet, seules les mesures d’exĂ©cution de l’expulsion avec le concours de la force publique sont suspendues. Si l'expulsion est ordonnĂ©e par le juge, elle sera alors effective dĂšs la fin de la trĂȘve. Toutefois, la loi ELAN a supprimĂ© le bĂ©nĂ©fice de la trĂȘve hivernale pour les squatters entrĂ©s dans le domicile d’autrui. Pour les squatters d’autres locaux que le domicile ex locaux vacants la possibilitĂ© de rĂ©duire ou de supprimer la trĂȘve hivernale est laissĂ©e Ă  l’apprĂ©ciation du juge. Le saviez-vous ? La trĂȘve hivernale des expulsions, instituĂ©e par la loi du 3 dĂ©cembre 1956, est un acquis du combat de l’AbbĂ© Pierre et un des fruits de son cĂ©lĂšbre Appel du 1er fĂ©vrier 1954. En pratique Les allocations logement sont-elles maintenues en cas de loyers impayĂ©s ? Loyers impayĂ©s et expulsion du locataire Que faire en cas de difficultĂ©s pour payer son loyer ? Logement d’abord le plan quinquennal pour le logement d'abord et la lutte contre le sans-abrisme Conventionnement Ă  l’APL d’un logement pour les bailleurs sociaux Apartir du 10 septembre, une nouvelle permanence sera mise en place pour prĂ©venir les expulsions locatives. Mise en place par l’Agence dĂ©partementale d’information sur le logement (ADIL) des Yvelines, cette permanence se tiendra au tribunal de Saint-Germain-en-Laye.. Sur les dix derniĂšres annĂ©es, les expulsions de mĂ©nages yvelinois Emu par le sort d’une lycĂ©enne trĂšs mĂ©ritante, un collectif de professeurs du lycĂ©e Georges-Braque et de parents d’élĂšves s’est mis en place pour Ă©viter que sa famille ne perde son logement. Grace Ă  eux, la dette locative a Ă©tĂ© apurĂ©e mais tous les problĂšmes ne sont pas rĂ©glĂ©s. Argenteuil, mardi 7 juin 2022. Zoya qui souhaite rester anonyme, au centre, peut compter sur de nombreux membres de l'Ă©quipe Ă©ducative et Ă©lĂšves pour la soutenir. LP/Thibault devenu la cause du personnel, des parents et d’élĂšves du lycĂ©e Georges-Braque Ă  Argenteuil. Un groupe de soutien Ă  une Ă©lĂšve de terminale et sa famille menacĂ©es d’expulsion s’est mis en place ces derniĂšres la rubrique Val-d'Oise
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Eneffet, Guy bĂ©nĂ©ficiait d’un titre de sĂ©jour jusqu’au 31 juillet 2005, date qui devait lui permettre de passer les Ă©preuves du baccalaurĂ©at. Un Ă©lĂšve de terminale a le droit de redoubler son annĂ©e s’il n’obtient pas l’examen. Or, Guy ne peut faire valoir ce droit car il est en situation irrĂ©guliĂšre sur le territoire Plusieurs retraitĂ©s de l’éducation nationale ont reçu des mises en demeure pour quitter leurs logements de fonction. Des retraitĂ©s de lycĂ©es de Hussein Dey Alger ont reçu des jugements dĂ©finitifs de la justice leur ordonnant de sortir de leurs logements. Les concernĂ©s espĂšrent la clĂ©mence de la justice qui leur octroie un dĂ©lai pour leur expulsion. Des dizaines de familles sont menacĂ©es d’expulsion Ă  Hussein Dey, mais aussi dans d’autres communes de la wilaya. Le Ramadhan n’a pas permis d’arrĂȘter l’opĂ©ration. Moi j’ai reçu mon jugement avant l’AĂŻd. Que doit-je faire ?», s’interroge, Ă©plorĂ©e, une dame qui apprĂ©hende d’ĂȘtre mise Ă  la rue par la force publique» aprĂšs l’expiration du dĂ©lai accordĂ©e par la justice. Selon des retraitĂ©s, tous les employĂ©s ayant occupĂ© un logement de fonction ne sont pas dans la mĂȘme situation. Il y a ceux qui ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’aides et qui squattent des logements de fonction ou d’astreinte. D’autres n’ont mĂȘme pas pu faire des dĂ©marches aprĂšs la dĂ©cision de cession des logements de fonction engagĂ©e Ă  la fin des annĂ©es 1980, ils ont prĂ©fĂ©rĂ© laisser leur tutelle engager les opĂ©rations. Il y en a d’autres encore qui attendent l’aboutissement de leurs dossiers AADL», Ă©numĂšre un retraitĂ©, qui refuse de donner le nom de son lycĂ©e pour Ă©viter les reprĂ©sailles». Quelque 1719 logements de fonction dans le secteur de l’éducation seraient occupĂ©s illĂ©galement. Nous avons recensĂ© 1719 logements d’astreinte illĂ©galement occupĂ©s dans le secteur Ă  Alger. Une opĂ©ration nous a permis de rĂ©cupĂ©rer 70 logements jusqu’ici et celle-ci se poursuivra jusqu’à l’assainissement total de cette situation», a dĂ©clarĂ© le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, lors d’une intervention Ă  la premiĂšre session annuelle de l’AssemblĂ©e populaire de la wilaya APW. Le wali, qui a instruit ses trois directeurs de l’éducation, a assĂ©nĂ© Il y a des gens qui ont bĂ©nĂ©ficiĂ© de logements qu’ils ont louĂ©s Ă  des tiers tout en continuant, eux, de squatter les logements d’astreinte. En parallĂšle, nous avons des enseignants en activitĂ© qui font des navettes quotidiennes entre Alger, Tipasa, BoumerdĂšs et Blida. Cette situation inacceptable doit cesser.» Les retraitĂ©s interpellent la ministre de l’Education, Nouria Benghebrit. Madame la ministre, n’aviez vous pas assurĂ© d’étudier les dossiers au cas par cas et que ceux qui n’ont rien ne seront pas Ă  la rue ? Ne sommes-nous pas des citoyens algĂ©riens ? Parce que retraitĂ©s, nous sommes devenus des dĂ©chets tout juste bons Ă  jeter Ă  la rue aprĂšs des annĂ©es de bons et loyaux services», Ă©crivent des retraitĂ©s dans une lettre adressĂ©e Ă  la ministre de tutelle pour contester une opĂ©ration d’expulsion menĂ©e manu militari par voie de justice en plein Ramadhan. Argument massue des retraitĂ©s qui ont engagĂ© des avocats le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, n’est pas habilitĂ© Ă  poursuivre en justice les occupants des logements de fonction La circulaire de 2001 du ministĂšre de l’Education nationale, signifiĂ©e en 2006 aux directions de l’éducation ouest, centre et est d’Alger, mentionne qu’il relĂšve de la direction des finances et des moyens de l’Education nationale de s’occuper de ces logements de fonction aprĂšs avoir constatĂ© de multiples dĂ©passements les concernant.» En outre, l’article 111 du code de la wilaya stipule que le wali ne peut interfĂ©rer dans le domaine de l’éducation. Cet article indique que le wali anime, coordonne et contrĂŽle l’activitĂ© des services dĂ©concentrĂ©s de l’Etat chargĂ©s des diffĂ©rents secteurs dans la wilaya, Ă  l’exclusion, entre autres, de l’action pĂ©dagogique et de la rĂ©glementation, dans le domaine de l’éducation», prĂ©cise la dĂ©fense des protestataires. Il n’a pas Ă©tĂ© possible, avant-hier, d’obtenir la version des autoritĂ©s de la wilaya ni celle des services des trois directions de l’éducation d’Alger. Ilest interdit de refuser la rescolarisation d'un Ă©lĂšve au motif qu'il est ĂągĂ© de plus de 16 ans et n'est plus soumis Ă  l'obligation scolaire. L'article L. 122-2 du Code de
Sujet D’abord trouver un lycĂ©e ou d’abord un logement ? forzaazzuri MP 08 mars 2022 Ă  171924 Salut les khey je compte changer de lycĂ©e et me diriger vers une autre acadĂ©mie je souhaite dĂ©mĂ©nagerÇa se fait comment ? Je dois d’abord trouver un logement ou je peux commencer Ă  faire des demandes de lycĂ©es dĂšs maintenant ? On me dit de commencer Ă  dĂ©marcher auprĂšs des lycĂ©es tout de suiteJe prĂ©cise je suis majeur forzaazzuri MP 08 mars 2022 Ă  172200 forzaazzuri MP 08 mars 2022 Ă  172538 Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
Cedossier expose les principaux risques sanitaires liés au logement et les mesures accompagnées pour y remédier. Il donne également des informations sur les mesures de sécurité à respecter
DerniĂšre mise Ă  jour le 29/11/2020 L’expulsion du locataire pour loyers impayĂ©s ne peut ĂȘtre sollicitĂ©e qu’en justice. Cette procĂ©dure d’expulsion souvent longue et couteuse peut constituer un vĂ©ritable parcours de combattant pour le bailleur. Le paiement du loyer par le locataire Ă  son bailleur est la contrepartie en Ă©change de laquelle celui-ci peut jouir des lieux. C’est ainsi que parmi les obligations du locataire figure notamment celle de paiement des loyers Ă  son bailleur aux termes convenus art. 7 de la loi n°89-462 du 6 juillet 1989. Par cet article, le Cabinet DERHY AVOCAT, reconnue pour son expertise incoutournable en matiĂšre d’expulsion, vous exposera la procĂ©dure Ă  suivre contre votre locataire selon que votre bail d’habitation contient ou non une clause rĂ©solutoire visant les loyers impayĂ©s, puis les dĂ©marches Ă  poursuivre une fois la dĂ©cision de justice obtenue. Il existe deux types de procĂ©dure pour expulser un locataire selon que le bail contient ou non une clause rĂ©solutoire visant le dĂ©faut de paiement des loyers. Cas n°1 Comment expulser un locataire pour loyers impayĂ©s en prĂ©sence d’une clause rĂ©solutoire dans mon bail d’habitation ? La clause rĂ©solutoire du bail permet d’obtenir la rĂ©siliation de plein droit du bail du seul fait du manquement du locataire Ă  son obligation de paiement du loyer art. 4 de la loi de 1989. Etape 1 DĂ©livrer un commandement de payer visant la clause rĂ©solutoire Il est courant qu’un bail contienne une clause rĂ©solutoire visant expressĂ©ment que le bail sera rĂ©siliĂ© automatiquement et de plein droit si le locataire ne paie pas son loyer et ses charges aux Ă©chĂ©ances convenues Art. 7a de la loi du 6 juillet 1989. Avant la mise en oeuvre de la clause rĂ©solutoire, le bailleur doit impĂ©rativement signifier Ă  son locataire un commandement de payer visant la clause rĂ©solutoire du bail, dont une copie sera annexĂ©e, et contenir un dĂ©compte exact des sommes dues au titre des loyers et des charges. Ce document reproduit, Ă  peine de nullitĂ©, le texte des premiers alinĂ©as de l’article 24 de la loi du 6 juillet 1989 et des trois premiers alinĂ©as de l’article 6 de la loi du 31 mai 1990. Si une caution du locataire est engagĂ©e, l’huissier devra lui dĂ©noncer ledit commandement dans les 15 jours de sa dĂ©livrance. A dĂ©faut, elle ne peut ĂȘtre tenue au paiement dudit arriĂ©rĂ© locatif, ni au paiement des pĂ©nalitĂ©s ou intĂ©rĂȘts de retard. Le locataire doit rĂ©gler son arriĂ©rĂ© locatif dans le dĂ©lai de deux mois Ă  compter de la signification du commandement. Il peut Ă©galement demander des dĂ©lais de paiement en saisissant le tribunal durant ce dĂ©lai, ou le Fonds de solidaritĂ© pour le logement FSL afin d’obtenir une aide financiĂšre. A dĂ©faut de paiement de l’intĂ©gralitĂ© de la dette locative dans les dĂ©lais requis, le bailleur devra engager une procĂ©dure en rĂ©fĂ©rĂ©-expulsion. Etape 2 Assigner le locataire en rĂ©fĂ©rĂ©-expulsion pour loyers impayĂ©s Le bailleur doit alors assigner en rĂ©fĂ©rĂ© son locataire par devant le Juge des contentieux de la protection pour faire constater l’acquisition de la clause rĂ©solutoire du bail d’habitation. Il sollicitera Ă©galement sa condamnation provisionnelle au paiement des arriĂ©rĂ©s de loyer et d’une indemnitĂ© d’occupation jusqu’à la libĂ©ration effective des lieux louĂ©s. L’assignation doit lui ĂȘtre notifiĂ©e deux mois avant la date de l’audience. L’assignation doit ĂȘtre Ă©galement notifiĂ©e Ă  la prĂ©fecture CCAPEX par LRAR deux mois au moins avant l’audience. Cela fait au total un dĂ©lai incompressible de quatre mois minimum depuis la signification du commandement de payer. Etape 3 l’ordonnance d’expulsion rendue par le Juge Le juge des contentieux de la protection rend une ordonnance d’expulsion aux termes de laquelle il constate immĂ©diatement l’acquisition de la clause rĂ©solutoire Ainsi, il ordonnera l’expulsion immĂ©diate du locataire et de tous occupants de son chef, et le condamnera Ă©galement au paiement de l’arriĂ©rĂ© locatif, ainsi qu’à une indemnitĂ© d’occupation mensuelle, outre aux dĂ©pens frais d’huissier, et une indemnitĂ© au titre des frais de procĂ©dure art 700 du CPC. La possibilitĂ© pour le locataire de demander des dĂ©lais de paiement en justiceLe juge saisi, mĂȘme d’office, peut suspendre les effets de la clause rĂ©solutoire et accorder au locataire des dĂ©lais de paiement dans la limite de 3 annĂ©es, s’il estime qu’il a la possibilitĂ© de rĂ©gler sa dette locative. Si le locataire ne respecte pas l’échĂ©ancier fixĂ© par le Juge, la suspension de la clause rĂ©solutoire prend fin et son expulsion devient possible, Ă  condition que le bailleur ait obtenu du juge une clause dite de dĂ©chĂ©ance du terme ». Dans cette hypothĂšse, il n’est pas nĂ©cessaire de rĂ©assigner le locataire. il suffira de lui signifier la dĂ©chĂ©ance du terme par huissier. Aux termes de cette ordonnance, le juge fixera Ă©galement le montant de l’indemnitĂ© d’occupation et le condamnera aux dĂ©pens, et Ă  une indemnitĂ© au titre des frais de procĂ©dure. Cas n°2 Comment expulser un locataire en cas de loyers impayĂ©s si mon bail d’habitation ne contient pas de clause rĂ©solutoire ? En l’absence d’une clause rĂ©solutoire dans le bail d’habitation, le bailleur pourra toujours solliciter la rĂ©siliation judiciaire du bail d’habitation art. 1227 du Code civil et donc l’expulsion de son locataire. Par ailleurs, le locataire sera Ă©galement condamnĂ© au paiement au paiement de sa dette locative, outre une indemnitĂ© d’occupation, laquelle correspond en gĂ©nĂ©ral au montant du dernier loyer et des charges. En effet, le dĂ©faut de paiement des loyers constitue un manquement grave du locataire Ă  ses obligations contractuelles art. 7 de la loi de 1989. Il est prĂ©fĂ©rable avant de l’assigner de mettre en demeure le locataire d’avoir Ă  payer son arriĂ©rĂ© locatif, mais le bailleur n’y est pas obligĂ©. Selon la gravitĂ© et l’intensitĂ© du manquement reprochĂ© au locataire, le juge pourra prononcer la rĂ©siliation judiciaire du bail d’habitation Ă  ses torts exclusifs et ordonner son expulsion . Ainsi, par son arrĂȘt rendu le 1er dĂ©cembre 2009 n°07/04411, la Cour d’appel de Grenoble a constatĂ© qu’un locataire n’ayant pas respectĂ© ses obligations de s’acquitter rĂ©guliĂšrement de ses loyers encourt la rĂ©siliation judiciaire du bail. A contrario, par un arrĂȘt rendu en date du 9 mai 2006, la Cour d’appel de ChambĂ©ry a rejetĂ© la demande de rĂ©siliation judiciaire car le dĂ©compte attestant l’arriĂ©rĂ© de loyers n’était pas clair et que l’arriĂ©rĂ© loyer Ă©tait modeste. 2. Comment exĂ©cuter la dĂ©cision d’expulsion pour loyers impayĂ©s ? Signifier la dĂ©cision de justice ordonnant l’expulsion du locataire L’ordonnance doit ĂȘtre signifiĂ©e au locataire par acte extra-judiciaire, lequel fera courir le dĂ©lai d’appel de 15 jours pour chacune des parties. Si c’est un jugement, la signification fera courir un dĂ©lai d’1 mois. DĂ©livrer un commandement de quitter les lieux pour procĂ©der Ă  l’expulsion du locataire AprĂšs l’obtention de la dĂ©cision de justice, il faut encore lui faire dĂ©livrer un commandement d’avoir Ă  libĂ©rer les locaux par acte d’huissier. Celui-ci peut ĂȘtre dĂ©livrĂ© en mĂȘme temps que la signification de la dĂ©cision d’expulsion. L’expulsion ne peut intervenir qu’à l’issue d’un dĂ©lai de 2 mois Ă  compter de la signification du commandement au locataire et de sa dĂ©nonciation au PrĂ©fet art. 412 du CPCE. L’’expulsion est suspendue pendant la pĂ©riode hivernale s’écoulant du 1ernovembre au 31 mars suivant art. 412-6 du CPCE. Le jour de l’expulsion, la reprise des lieux s’effectue par l’huissier de justice. Comment expulser mon locataire qui refuse de quitter le logement malgrĂ© le commandement de quitter les lieux ? A dĂ©faut de quitter les lieux Ă  l’issue du dĂ©lai de deux mois Ă  compter dudit commandement, l’huissier doit requĂ©rir le concours de la force publique. La prĂ©fecture dispose alors d’un dĂ©lai de deux mois Ă  compter de cette rĂ©quisition pour faire connaĂźtre sa rĂ©ponse. L’absence de rĂ©ponse Ă©quivaut Ă  un refus. Dans ce cas, le bailleur peut engager un recours contre l’État pour obtenir rĂ©paration de son prĂ©judice subi. Dans une telle hypothĂšse, l’État pourra lui rembourser une indemnitĂ© Ă©gale aux loyer et charges dues par l’occupant sans droit, ni titre et ce, jusqu’à ce que celui-ci quitte les locaux. AprĂšs obtention de l’autorisation du prĂ©fet, l’huissier procĂšdera Ă  l’expulsion de l’occupant, si besoin en prĂ©sence d’un serrurier et du commissariat de police. AprĂšs avoir fait libĂ©rer les lieux de toutes personnes, l’huissier fera apposer les scellĂ©s par le biais du serrurier prĂ©sent et dressera enfin un ProcĂšs-verbal d’expulsion qu’il signifiera Ă  la personne expulsĂ©e Est-ce que mon locataire peut demander des dĂ©lais pour rester dans le logement malgrĂ© la dĂ©cision de justice d’expulsion? A partir du moment oĂč a Ă©tĂ© notifiĂ© le commandement de quitter les lieux, le locataire a encore la facultĂ© de saisir le juge de l’exĂ©cution. Ce dernier peut lui accorder des dĂ©lais de grĂące permettant de repousser l’expulsion Ă  une date ultĂ©rieure, chaque fois que le relogement des intĂ©ressĂ©s ne peut avoir lieu dans des conditions normales art. 412-3 du CPCE. La durĂ©e de ces dĂ©lais ne peut, en aucun cas, ĂȘtre infĂ©rieure Ă  3 mois ni supĂ©rieure Ă  3 ans art. L412-4 du CPCE. Le juge dispose, Ă  cet effet, d’un pouvoir souverain pour l’accorder ou refuser en tenant compte notamment des situations respectives du propriĂ©taire et de l’occupant l’ñge, l’état de santĂ© ou encore la situation de famille. 3. Comment recouvrer mes loyers impayĂ©s suite Ă  l’expulsion ordonnĂ©e par le juge ? 4. A quelles sanctions s’exposent le bailleur qui expulse son locataire par lui-mĂȘme ? Le bailleur ne peut pas prendre l’initiative de pĂ©nĂ©trer dans le logement avant l’intervention d’un huissier, faire changer la serrure et toucher aux meubles, couper l’eau ou l’électricitĂ©, sous peine de poursuites pĂ©nales pour violation de domicile. L’article L 226-4-2 du Code pĂ©nal punit dĂ©sormais de trois ans d’emprisonnement et de € d’amende le fait de forcer une personne Ă  quitter les lieux sans avoir obtenu le concours de la force publique d’un avocat est-elle nĂ©cessaire pour procĂ©der Ă  l’expulsion de mon locataire pour loyers impayĂ©s ? Dans le cadre d’une procĂ©dure d’expulsion pour loyers impayĂ©s, l’assistance d’un avocat spĂ©cialisĂ© en droit immobilier est indispensable, compte tenu de l’enjeu que cette procĂ©dure est complexe. MaĂźtre DERHY LorĂšne, reconnue pour son expertise incontournable en expulsion, saura vous assister efficacement pour rĂ©cupĂ©rer tant votre logement que votre arriĂ©rĂ© locatif. Retrouvez les vidĂ©os du Cabinet et de Me DERHY dans les mĂ©dias au sujet des expulsions pour loyers impayĂ©s Date de Publication 19/11/2020 Intervention de Me DERHY dans l’émission EnvoyĂ© SpĂ©cial sur France 2 Me DERHY a Ă©tĂ© sollicitĂ©e au sujet d’un litige rencontrĂ© par l’un de ses clients victime de loyers impayĂ©s. MalgrĂ© un jugement d’expulsion, le bailleur reste dans l’attente de l’intervention du PrĂ©fet. Date de Publication 3/09/2020 Intervention dans Me DERHY au JT de France 2 Me DERHY a Ă©tĂ© interrogĂ©e au sujet de l’un de ses clients victime de loyers impayĂ©s en raison des manoeuvres dolosives de son locataire.

Elles'appelle Mobina, elle vient d'obtenir son bac avec mention au lycée Saint-Sernin de Toulouse. Mais cette Iranienne qui a fui son pays a vu sa demande d'asile rejetée par les autorités

Un arrĂȘt du Conseil d'Etat paru cet Ă©tĂ© donne des prĂ©cisions sur les modalitĂ©s d'expulsion de squats ou de campements illĂ©gaux lorsque des enfants sont concernĂ©s. PrĂ©cisions qui touchent indirectement les conseils dĂ©partementaux au titre de l'aide sociale Ă  l'enfance. En encadrĂ© suite du feuilleton juridique sur les arrĂȘtĂ©s municipaux "anti-mises Ă  la rue" dans sept villes d'Ile-de-France. Dans un arrĂȘt du 28 juillet, le Conseil d'Etat apporte des prĂ©cisions sur la procĂ©dure d'expulsion des personnes occupant sans droit ni titre le domaine public, en l'occurrence celui de l'Etat dans l'affaire en question. Un cas de figure qui vise, par exemple, les campements illĂ©gaux ou les squats sur des dĂ©pendances du domaine public. Une partie de l'arrĂȘt porte sur des questions de compĂ©tence des diffĂ©rentes juridictions administratives. Mais l'essentiel se situe dans les prĂ©cisions apportĂ©es par le Conseil d'Etat sur les dĂ©lais et les modalitĂ©s d'expulsion d'occupants sans droit ni titre, notamment dĂšs lors que des enfants sont en cause. La convention sur les droits de l'enfant est applicable L'arrĂȘt considĂšre qu'il y a lieu de prendre en compte, dans ce type de situation, l'article 3-1 de la convention relative aux droits de l'enfant, signĂ©e Ă  New-York le 26 janvier 1990. Celui-ci dispose que "dans toutes les dĂ©cisions qui concernent les enfants, qu'elles soient le fait d'institutions publiques ou privĂ©es de protection sociale, des tribunaux, des autoritĂ©s administratives ou des organes lĂ©gislatifs, l'intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de l'enfant doit ĂȘtre une considĂ©ration primordiale". Dans ces conditions, le Conseil d'Etat en tire la conclusion que "lorsqu'il est saisi d'une demande d'expulsion d'occupants sans droit ni titre d'une dĂ©pendance du domaine public, il appartient au juge administratif, lorsque l'exĂ©cution de cette demande est susceptible de concerner des enfants, de prendre en compte l'intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de ceux-ci pour dĂ©terminer, au vu des circonstances de l'espĂšce, le dĂ©lai qu'il impartit aux occupants afin de quitter les lieux". DĂ©lais tout dĂ©pend du contexte Au-delĂ  de cette prise en compte de l'intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de l'enfant, l'arrĂȘt du Conseil d'Etat prĂ©cise que ce dĂ©lai doit ĂȘtre fixĂ© en fonction de plusieurs critĂšres. D'une part, "des diligences mises en Ɠuvre par les services de l'Etat aux fins de procurer aux personnes concernĂ©es, aprĂšs leur expulsion, un hĂ©bergement d'urgence" ou, si les intĂ©ressĂ©s remplissent les conditions requises, un hĂ©bergement ou un logement au titre du Dalo droit au logement opposable. D'autre part, de l'existence Ă©ventuelle d'un danger grave et imminent pour les occupants de l'immeuble du fait de leur maintien dans les lieux, de l'existence d'un projet d'affectation de l'immeuble Ă  une activitĂ© d'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, dont l'occupation a pour effet de retarder la rĂ©alisation, ainsi que de la possibilitĂ© qui a Ă©tĂ© donnĂ©e Ă  l'autoritĂ© administrative de procĂ©der au recensement et Ă  la dĂ©finition des besoins des personnes concernĂ©es. Dans le cas d'espĂšce un squat, l'occupation illĂ©gale de l'immeuble avait pour effet de retarder le projet de crĂ©ation d'un lieu d'hĂ©bergement d'urgence pour des personnes en situation de grande prĂ©caritĂ©. C'est donc Ă  juste titre que le tribunal administratif de Toulouse a fait droit Ă  la demande du prĂ©fet de Haute-Garonne de procĂ©der Ă  l'expulsion des occupants sans droit ni titre. RĂ©fĂ©rences Conseil d'Etat, arrĂȘt n°395911 du 38 juillet 2017, Mme B... Le tribunal administratif de Montreuil suspend l’exĂ©cution de sept arrĂȘtĂ©s municipaux "anti-mises Ă  la rue" Un maire n’est pas compĂ©tent pour apprĂ©cier l’existence des risques de trouble Ă  l’ordre public consĂ©cutifs Ă  la mise en Ɠuvre d’une procĂ©dure d’expulsion, et ne peut donc pas exiger que la justification du relogement des personnes expulsĂ©es lui soit fournie. Le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du tribunal administratif de Montreuil a en effet suspendu, par ordonnance du 6 septembre 2017, l’exĂ©cution des arrĂȘtĂ©s de sept maires de communes de Seine-Saint-Denis subordonnant les expulsions locatives au relogement des personnes. Ces textes pris au sortir de la trĂȘve hivernale par les communes de La Courneuve, Villetaneuse, Aubervilliers, Stains, Saint-Denis, Bagnolet et Bondy, prĂ©voyaient que "lors de toute expulsion locative sur le territoire de leur commune, il [devait] ĂȘtre fourni au maire ou Ă  son reprĂ©sentant qualifiĂ© la justification que le relogement de la personne expulsĂ©e et de sa famille dans un logement dĂ©cent [Ă©tait] assurĂ©" voir notre article ci-dessous du 4 avril 2016. Pour le tribunal, "si le maire de la commune se voit confier [
] des pouvoirs de police gĂ©nĂ©rale, en vue du maintien de l’ordre, de la sĂ©curitĂ© et de la salubritĂ© publics, il ne peut en user pour faire Ă©chec Ă  l’exĂ©cution des dĂ©cisions du reprĂ©sentant de l’Etat dans le dĂ©partement lorsque celui-ci a, en application d’une dĂ©cision de justice, accordĂ© le concours de la force publique pour qu’il soit procĂ©dĂ© Ă  l’expulsion des occupants d’un logement". "Il appartient au seul prĂ©fet d’apprĂ©cier, sous le contrĂŽle du juge, les risques de trouble Ă  l’ordre public consĂ©cutifs Ă  la mise en Ɠuvre d’une procĂ©dure d’expulsion", le maire n’étant "pas compĂ©tent pour apprĂ©cier l’existence de ces risques et ne peut exiger que la justification du relogement des personnes expulsĂ©es lui soit fournie", poursuit le tribunal. Le tribunal administratif de Montreuil, siĂ©geant en formation collĂ©giale, devra se prononcer dĂ©finitivement sur la lĂ©galitĂ© de ces sept arrĂȘtĂ©s municipaux. AEF
Droitau logement et Ă  l'hĂ©bergement opposable. Le droit au logement et Ă  l'hĂ©bergement opposable, garanti par l’État, est offert aux personnes satisfaisant Ă  un certain nombre de critĂšres. Ce droit implique l'exercice d'un recours amiable devant la commission de mĂ©diation. Le chĂšque Ă©nergie
Mardi 19 janvier 2021, Lille 59 – Le Crous met Ă  la rue MĂ©gane, Ă©tudiante en sociologie. L’expulsion est, raconte la jeune femme, exĂ©cutĂ©e de force et sans l’autorisation du prĂ©fet par maĂźtre JosĂ© L., huissier de justice Ă  Roubaix. Pour l’occasion, il est accompagnĂ© de deux tĂ©moins » et d’un serrurier. Alors que l’État d’urgence sanitaire impose un couvre-feu Ă  18 heures et que la mĂ©tĂ©o est glaciale, l’étudiante alterne dĂ©sormais les nuits dans sa voiture et Ă  l’hĂŽtel. MĂ©gane, 26 ans, donne rendez-vous Ă  cĂŽtĂ© de sa Peugeot qui fait office d’abri depuis mardi. Elle est calme et souriante malgrĂ© la situation mais dĂ©terminĂ©e Ă  faire valoir ses droits. Elle est en rupture familiale depuis ses 15 ans Mes parents ne sont pas dans la mĂ©tropole lilloise et ne m’ont jamais aidĂ©e. » À la sortie du lycĂ©e, elle enchaĂźne les petits boulots puis travaille un an pour une association pour laquelle elle distribue des paniers alimentaires. C’est en 2018, qu’elle dĂ©cide de reprendre ses Ă©tudes. Elle s’inscrit en Licence de psychologie Ă  l’UniversitĂ© de Lille. AprĂšs deux premiĂšres annĂ©es difficiles, elle se rĂ©oriente en septembre dernier en sociologie. Son annĂ©e, comme beaucoup d’étudiants, est compliquĂ©e confinement, couvre-feu, cours Ă  distance. Sa situation financiĂšre est prĂ©caire elle ne peut plus prĂ©tendre aux bourses Ă©tudiantes. À cela s’ajoutent des tensions avec la directrice de sa rĂ©sidence Le Triolo », situĂ©e sur le campus universitaire de Villeneuve d’Ascq, Ă  quelques arrĂȘts de mĂ©tro de Lille. Depuis janvier 2020, la directrice lui reproche les allĂ©es et venues de son petit ami – pourtant chose courante dans les rĂ©sidences Ă©tudiantes – qu’elle accuse d’insultes envers le personnel. Emmanuel Parisis, directeur du Crous Ă  Lille, abonde en ce sens Son ami n’est pas Ă©tudiant, et elle n’a pas le droit d’hĂ©berger clandestinement quelqu’un. Et c’est quelqu’un qui est dangereux, qui a menacĂ© des personnels. Il a menacĂ© de mort la directrice et un Ă©tudiant qui est veilleur de nuit dans la rĂ©sidence. Il y a eu deux plaintes de dĂ©posĂ©es. » 1 MĂ©gane lĂąche, Ă©nervĂ©e Les accusations sont infondĂ©es, je ne comprends pas ce qu’il m’arrive ! » Pas de trĂȘve hivernale pour les Ă©tudiants Le 1er juin 2020, le Crous envoie une lettre de rĂ©siliation de son logement Ă  MĂ©gane, lui intimant l’ordre de quitter les lieux sous peine d’ĂȘtre assignĂ©e au Tribunal administratif TA. Contrairement Ă  une procĂ©dure d’expulsion classique, les Ă©tudiants en logement Crous ont des droits limitĂ©s, nous prĂ©cise maĂźtre Muriel Ruef, son avocate Pour les logements Ă©tudiants, il n’y a pas de trĂȘve hivernale, pas de dĂ©lai pour quitter les lieux. C’est une expulsion sĂšche, une simple lettre de rĂ©siliation ! ». Alors que le Crous ne transmet plus ses attestations de loyers Ă  la CAF depuis le premier juin, elle perd l’accĂšs aux APL et accumule les dettes 799 euros d’arriĂ©rĂ©s de loyers, et un peu plus de euros de frais de procĂ©dure. L’étudiante alterne dĂ©sormais les nuits dans sa voiture et Ă  l’hĂŽtel. / CrĂ©dits Pierre Bonnevalle Le 22 septembre, l’audience au TA confirme son expulsion en raison du comportement de son ami et non de ses dettes de loyers », prĂ©cise Emmanuel Parisis, le directeur du Crous. Il reste que le recours Ă  la force publique n’a pas Ă©tĂ© prononcĂ©. MĂ©gane est censĂ©e partir, mais on ne peut pour le moment l’y contraindre. Une expulsion manu militari DĂ©but janvier 2021, elle reçoit une premiĂšre visite d’un huissier, lui demandant de partir », raconte MĂ©gane, qui refuse ». Ce que la loi lui autorise », dĂ©taille l’Atelier Populaire d’Urbanisme de Lille-Fives. Une association qui aide les personnes mal logĂ©es ou en procĂ©dure d’expulsion, qui prĂ©cise À aucun moment un huissier peut expulser une personne, Ă©tudiante ou non, de son logement. Il n’a mĂȘme pas le droit de rentrer. Pour expulser quelqu’un, il faut que le prĂ©fet autorise le recours Ă  la force publique. » Mardi 19 janvier, Ă  9 heures, JosĂ© L., huissier de justice Ă  Roubaix, serait intervenu – gazeuse Ă  la taille – avec deux malabars », selon MĂ©gane, qui nous raconte son rĂ©veil brutal Avec mon copain, on entend quelqu’un taper Ă  la porte, puis des bruits de perceuse. Mon ami ouvre la porte et les trois individus pĂ©nĂštrent dans le logement. Je leur explique alors que je ne sortirai pas de chez moi et appelle mon assistante sociale. L’huissier m’intime l’ordre de partir et me dit “Vous prenez vos affaires et vous vous cassez !” ». L’avocate de MĂ©gane, maĂźtre Muriel Ruef complĂšte L’assistante sociale atteste par Ă©crit qu’elle a eu MĂ©gane au tĂ©lĂ©phone pendant que l’huissier Ă©tait lĂ , qu’elle l’a entendue trĂšs nettement dire Ă  l’huissier “Je ne veux pas partir, je ne sais pas oĂč aller”. ConcrĂštement, ça s’appelle une opposition Ă  une expulsion ! » L’huissier, qui se voit opposer une fin de non-recevoir, ne se dĂ©bine pas pour autant et prend MĂ©gane par ruse », explique maĂźtre Muriel Ruef L’huissier lui a dit “Prenez ce sac, posez le lĂ -bas”. Le “lĂ -bas”, c’était dans le couloir. “Maintenant, vous ĂȘtes dehors, vous ne rentrez plus !” Et ils ont sorti ses affaires au fur et Ă  mesure ! » Deux versions Lorsque la police arrive, l’huissier et ses acolytes dĂ©noncent des outrages et des menaces de mort Ă  leur Ă©gard. MĂ©gane conteste cette version Les policiers ont Ă©coutĂ© l’huissier, qui racontait n’importe quoi, que moi et mon ami avions Ă©tĂ© violents. Que mon ami avait un couteau, c’est n’importe quoi ! Quand la police a contrĂŽlĂ© mon ami, ils n’ont rien trouvĂ© sur lui ! » Jeudi 21 janvier, son ami est jugĂ© en comparution immĂ©diate. Comme le rapporte la Voix du Nord, ce sont de lourdes charges qui pĂšsent sur lui outrage et menace de mort envers une personne dĂ©positaire de l’autoritĂ© publique. Le petit ami est finalement condamnĂ© Ă  des travaux d’IntĂ©rĂȘts gĂ©nĂ©ral. On n’a pas cherchĂ© Ă  contacter les Ă©tudiants de la rĂ©sidence, ni le serrurier et les dĂ©mĂ©nageurs », s’étrangle maĂźtre Kenza Gaillard-Benkhalef, avocate de l’ami de MĂ©gane qui annonce l’intention de son client d’interjeter appel. InterrogĂ© par StreetPress, l’avocat de maĂźtre JosĂ© L., BenoĂźt Cousin nous informe que son client n’entend pas commenter les faits Ă  l’origine de cette dĂ©cision de justice dont la lĂ©gitimitĂ© ne souffre d’aucune contestation », et voit dans la dĂ©cision rendue par le tribunal la reconnaissance de sa qualitĂ© de victime ». Des pratiques d’expulsion irrĂ©guliĂšres Reste que selon maĂźtre Muriel Ruef, l’avocate de MĂ©gane, l’expulsion de sa cliente Ă©tait parfaitement illĂ©gale 2. Elle a sollicitĂ© l’huissier pour des Ă©claircissements et envisage de porter plainte avec MĂ©gane contre celui-ci. Elle compte Ă©galement interroger la chambre rĂ©gionale des huissiers sur ces pratiques, et lĂąche C’est fou qu’on puisse expulser quelqu’un, livrĂ© Ă  soi-mĂȘme, alors que c’est le couvre-feu. C’est un scandale que les Ă©tudiants ne bĂ©nĂ©ficient pas de la trĂȘve hivernale ! » InterrogĂ© sur la lĂ©galitĂ© de la procĂ©dure, le directeur du Crous de Lille botte en touche Je ne maĂźtrise pas la procĂ©dure juridique
 On est passĂ© par un huissier pour mettre en Ɠuvre la procĂ©dure
 On attend encore le retour du huissier sur la restitution ». Le cas de MĂ©gane ne serait pas isolĂ©. L’Atelier populaire d’urbanisme de Lille-Fives, qui a suivi de nombreux dossiers d’étudiants logĂ©s par le Crous de Lille, dĂ©nonce les pratiques de l’organisme et des huissiers qui exĂ©cutent les expulsions Des Ă©tudiants nous ont racontĂ© des cas oĂč les huissiers sont entrĂ©s dans leur logement alors qu’ils n’étaient pas lĂ . L’huissier s’installe avec des gros bras et quand les gens rentrent chez eux, ils les poussent Ă  partir, les menacent, mettent leurs affaires dehors. C’est totalement illĂ©gal ! » Plusieurs syndicats Ă©tudiants sont mobilisĂ©s pour rĂ©clamer un moratoire sur le paiement des loyers et demandent le respect de la trĂȘve hivernale pour l’ensemble des Ă©tudiants. Sud Étudiant exige sans dĂ©lai l’attribution d’un nouveau logement Crous pour MĂ©gane ». InterrogĂ©e, la FĂ©dĂ©ration syndicale Ă©tudiante FSE s’indigne Les Ă©tudiants logĂ©s au Crous sont les plus prĂ©caires. Ils vivent dans des logements insalubres, et Ă©prouvent des difficultĂ©s personnelles et financiĂšres. Dans le contexte actuel, les Ă©tudiants galĂšrent Ă  trouver un emploi, un stage ou Ă  renouveler un titre de sĂ©jour. Que le Crous se permette d’expulser ou de menacer d’expulsion nous afflige. » En attendant, MĂ©gane a bĂ©nĂ©ficiĂ© du soutien de collectifs d’aide aux mal-logĂ©s. Elle a pu dormir Ă  l’hĂŽtel, et souffler un peu. 1 MalgrĂ© nos demandes, Emmanuel Parisis a refusĂ© de nous faire parvenir les tĂ©moignages, mĂȘme anonymisĂ©. 2 MaĂźtre JosĂ© L., l’huissier de justice, indique dans la procĂ©dure qu’il ne s’agit pas d’une expulsion, mais d’une saisie mobiliĂšre, ce qui serait lĂ©gal. StreetPress l’a contactĂ© pour en savoir plus. Il n’a pas rĂ©pondu Ă  nos sollicitations. APPEL À TÉMOIGNAGE Vous avez Ă©tĂ© victime d’une expulsion illĂ©gale menĂ©e par un huissier de justice, sans la prĂ©sence des forces de l’ordre. Vous pouvez contacter notre journaliste par mail BrK4.
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